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Prénoms

En Islande, les parents ne peuvent pas appeler leur progéniture comme ils l’entendent. La loi est très stricte à ce sujet. Il existe dans ce pays nordique un Registre national regroupant les (très précisément) 3 565 prénoms autorisés (1.853 féminins et 1.712 masculins) comme l’indique The Guardian. Les autorités locales sont à ce point à cheval sur le sujet qu’elles sont capables de supprimer le passeport des habitants contrevenants. C’est en effet ce qui est arrivé à une jeune fille possédant la double nationalité britannique et islandaise, comme le relate le quotidien britannique.

En effet, les autorités du pays n’ont pas accepté de renouveler le passeport de Harriet, la fille de Kirstin et Tristan Cardew. La raison ? Comme le relaie Europe 1, le prénom que lui ont choisi ses parents ne figure pas dans la liste du Registre national de Reykjavik. Jusqu’ici, les autorités islandaises avaient accepté qu’Harriet et son frère Duncan voyagent sous les noms de Stúlka et Drengur, «fille» et «garçon» en islandais.

«Mais cette fois, les autorités ont décidé d’appliquer la loi à la lettre», raconte Tristan Cardew marié à une Islandaise. Il a donc dû demander en urgence un passeport britannique pour Harriet à l’ambassade.

Selon The Guardian, tous les ans, le Comité des prénoms islandais reçoit une centaine de demandes (pour une île de 320.000 habitants) formulées par des parents qui veulent être un peu originaux. Environ la moitié d’entre elles sont acceptées dans une volonté de moderniser ce système.

Stylos 3D

Les stylos 3D ne sont pas encore arrivés dans les commerces grands publics, mais ce n’est en tout cas plus une nouvelle pour tous. Le plaisir de pouvoir créer des dessins en 3D réel et physique n’est plus une lubie et surtout un avantage pour nombre de professions telles que l’architecture ou le design. Les possibilités sont multiples et diverses et constituent une petite révolution dans le domaine de l’écriture et de la 3D.

Seulement, aujourd’hui les premiers acquéreurs se plaignent de l’odeur de plastique brûlé qui se dégage de l’encre utilisé dans les modèles disponibles à l’achat sur certains e-shop. De plus, la manipulation du matériel peut s’avérer dangereuse et causer des brûlures graves selon les parties anatomiques accidentées. Les stylos étaient donc très loin d’attendre une dimension commerciale acceptable pour le grand public.

C’est là que les créateurs de CreoPop interviennent avec leur nouveau concept censé ramener les autres stylos 3D dans leurs cartons de déballage. En effet, le concept du stylo CreoPop a pratiquement le même rendu que les autres stylos 3D si ce n’est que ce dernier permet d’avoir une bonne odeur à la sortie de l’encre qui, d’ailleurs, est froide. Donc finies les odeurs nauséeuses qui peuvent donner mal à la tête ainsi que les risques de brûlures.

L’encre du CreoPop est en fait constitué de photopolymère, c’est une matière déjà utilisée dans les impressions 3D et les créations de formes dans les imprimeries offset. En fait, le photopolymère est une matière souple et synthétique qui subit une transformation moléculaire au contact de la lumière et de la lumière ultraviolette.