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Ville fantôme
Epecuen était une ville touristique bouillonnante, située au sud-ouest de Buenos Aires. Il y a 25 ans, elle a été submergée par le lac salé qui avait fait sa célébrité. L’eau s’est aujourd’hui retirée, dévoilant une véritable ville fantôme.
En 1985, Epecuen est une charmante ville touristique située au sud-ouest de Buenos Aires, en Argentine. Son atout, c’est ce lac qui la longe, doté d’une salinité exceptionnelle. Grâce à lui, la ville peut accueillir plus de 20 000 personnes par saison, quatorze fois plus qu’en temps normal. Cela fait des années que des masses de curieux emplissent les wagons de trains depuis la capitale, arborant de larges sourires que ce lieu de détente n’aurait su défaire.
En 2013, les trains ne sont plus que des carcasses éventrées, embrochées sur ces rails qui ne dardent plus que vers le ciel. Non, ce n’est pas une guerre qui a frappé, mais la nature, et plus particulièrement l’eau, qui s’est trop éprise d’Epecuen.
Epecuen était une ville touristique bouillonnante, située au sud-ouest de Buenos Aires. Il y a 25 ans, elle a été submergée par le lac salé qui avait fait sa célébrité. L’eau s’est aujourd’hui retirée, dévoilant une véritable ville fantôme.
En 1985, Epecuen est une charmante ville touristique située au sud-ouest de Buenos Aires, en Argentine. Son atout, c’est ce lac qui la longe, doté d’une salinité exceptionnelle. Grâce à lui, la ville peut accueillir plus de 20 000 personnes par saison, quatorze fois plus qu’en temps normal. Cela fait des années que des masses de curieux emplissent les wagons de trains depuis la capitale, arborant de larges sourires que ce lieu de détente n’aurait su défaire.
En 2013, les trains ne sont plus que des carcasses éventrées, embrochées sur ces rails qui ne dardent plus que vers le ciel. Non, ce n’est pas une guerre qui a frappé, mais la nature, et plus particulièrement l’eau, qui s’est trop éprise d’Epecuen.

Chat persan
dans l’espace
Après avoir envoyé un singe dans l’espace en janvier dernier, l’Iran envisage à présent de recruter un chat persan pour un vol suborbital.
Les hommes ont beau être au centre de la conquête spatiale, certains pays préfèrent se tourner vers les animaux avant de se lancer. Moins de huit mois après avoir envoyé un singe dans l’espace, l’Iran compte renouveler l’expérience avec cette fois-ci... un chat persan. C’est du moins ce qu’a révélé lundi un responsable de l’agence spatiale iranienne, déclarant que ce projet était aujourd’hui sérieusement envisagé par l’agence.
Ce nouveau lancement ferait partie intégrante du programme spatial de Téhéran qui prévoit de réaliser un vol spatial humain d’ici 2020. En vérité, plusieurs animaux seraient candidats à ce vol, parmi lesquels un lapin et un rat, mais le chat persan pourrait être privilégié, l’animal étant un symbole du pays. Le chef de l’organisation de recherche de l’aviation au sein de l’Agence spatiale, Mohammad Ebrahimi a indiqué que les derniers tests afin de choisir l’élu étaient en cours.
Il n’a toutefois pas donné de date exacte pour le lancement de la fusée Kavoshgar qui transporterait l’animal. On sait simplement que le décollage devrait avoir lieu d’ici mars prochain.
dans l’espace
Après avoir envoyé un singe dans l’espace en janvier dernier, l’Iran envisage à présent de recruter un chat persan pour un vol suborbital.
Les hommes ont beau être au centre de la conquête spatiale, certains pays préfèrent se tourner vers les animaux avant de se lancer. Moins de huit mois après avoir envoyé un singe dans l’espace, l’Iran compte renouveler l’expérience avec cette fois-ci... un chat persan. C’est du moins ce qu’a révélé lundi un responsable de l’agence spatiale iranienne, déclarant que ce projet était aujourd’hui sérieusement envisagé par l’agence.
Ce nouveau lancement ferait partie intégrante du programme spatial de Téhéran qui prévoit de réaliser un vol spatial humain d’ici 2020. En vérité, plusieurs animaux seraient candidats à ce vol, parmi lesquels un lapin et un rat, mais le chat persan pourrait être privilégié, l’animal étant un symbole du pays. Le chef de l’organisation de recherche de l’aviation au sein de l’Agence spatiale, Mohammad Ebrahimi a indiqué que les derniers tests afin de choisir l’élu étaient en cours.
Il n’a toutefois pas donné de date exacte pour le lancement de la fusée Kavoshgar qui transporterait l’animal. On sait simplement que le décollage devrait avoir lieu d’ici mars prochain.