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Du toc
Le directeur général du Trésor public centrafricain, Judes-Alex Ketté, a été arrêté pour escroquerie après que les autorités eurent découvert que les décorations portées par le président Michel Djotodia lors de sa prestation de serment étaient des faux grossiers, a-t-on appris mardi auprès des enquêteurs.
"Le directeur général du Trésor public a été arrêté sur instructions du procureur de la République et placé en garde à vue à la gendarmerie. Il lui est reproché d'avoir détourné une partie de la somme d'argent destinée à l'achat des atours à parer le président de la transition le 18 août" lors de la cérémonie de prestation de serment, a indiqué à l'AFP, une source de la gendarmerie centrafricaine, sous couvert de l'anonymat.
"M. Ketté a empoché une partie des 600 millions de francs CFA (910.000 euros) prévus à cet effet, avec la complicité d'un joaillier sénégalais, d'un homme d'affaires centrafricain et d'un responsable de la Chancellerie, et a fourni des atours (notamment le grand croix et l'écharpe) issus d'une contrefaçon", a expliqué cette source.
Le directeur général du Trésor public centrafricain, Judes-Alex Ketté, a été arrêté pour escroquerie après que les autorités eurent découvert que les décorations portées par le président Michel Djotodia lors de sa prestation de serment étaient des faux grossiers, a-t-on appris mardi auprès des enquêteurs.
"Le directeur général du Trésor public a été arrêté sur instructions du procureur de la République et placé en garde à vue à la gendarmerie. Il lui est reproché d'avoir détourné une partie de la somme d'argent destinée à l'achat des atours à parer le président de la transition le 18 août" lors de la cérémonie de prestation de serment, a indiqué à l'AFP, une source de la gendarmerie centrafricaine, sous couvert de l'anonymat.
"M. Ketté a empoché une partie des 600 millions de francs CFA (910.000 euros) prévus à cet effet, avec la complicité d'un joaillier sénégalais, d'un homme d'affaires centrafricain et d'un responsable de la Chancellerie, et a fourni des atours (notamment le grand croix et l'écharpe) issus d'une contrefaçon", a expliqué cette source.

Arrestation
Lors de vacances en Zambie, Patrick Fourgeaud, un chef d'entreprise de Scionzier (Haute-Savoie) était parti pour un safari en amoureux. Seulement, il a fini dans une cellule de 80m2 avec 229 prisonniers.
C'est une grossière erreur qui est à l'origine de cette situation. Durant une balade, l'homme a ramassé quelques plumes et un morceau d'os, une collecte que les autorités locales n'ont pas du tout approuvée. Le 19 août, au moment de quitter le pays, l'infortuné a alors été arrêté par les autorités et placé en détention.
Le constat des douaniers est formel : le morceau d'os ramassé par ce touriste n'est pas un os commun d'oiseau comme il le pensait, mais une corne d'impala, une espèce d'antilope. D'office, ils soupçonnent le couple de l'avoir tué pour conserver la corne, l'accusent de "vol de trophée" et fixent son procès le jour-même. En attendant, il endure un interrogatoire long de six heures, sans eau, dans une pièce retirée de l'aéroport, nous rapporte BFMTV. Après l'audience, Patrick Fourgeaud est envoyé à la centrale de Lusaka pour la nuit. Une "horreur."
Lors de vacances en Zambie, Patrick Fourgeaud, un chef d'entreprise de Scionzier (Haute-Savoie) était parti pour un safari en amoureux. Seulement, il a fini dans une cellule de 80m2 avec 229 prisonniers.
C'est une grossière erreur qui est à l'origine de cette situation. Durant une balade, l'homme a ramassé quelques plumes et un morceau d'os, une collecte que les autorités locales n'ont pas du tout approuvée. Le 19 août, au moment de quitter le pays, l'infortuné a alors été arrêté par les autorités et placé en détention.
Le constat des douaniers est formel : le morceau d'os ramassé par ce touriste n'est pas un os commun d'oiseau comme il le pensait, mais une corne d'impala, une espèce d'antilope. D'office, ils soupçonnent le couple de l'avoir tué pour conserver la corne, l'accusent de "vol de trophée" et fixent son procès le jour-même. En attendant, il endure un interrogatoire long de six heures, sans eau, dans une pièce retirée de l'aéroport, nous rapporte BFMTV. Après l'audience, Patrick Fourgeaud est envoyé à la centrale de Lusaka pour la nuit. Une "horreur."