Autres articles
-
La neige au plus bas dans l'Himalaya
-
Où se cache la vie extraterrestre ?
-
Environ 15% des terres cultivables dans le monde sont contaminées aux métaux lourds
-
En Espagne, un village veut sauver ses oliviers face à l'essor du photovoltaïque
-
Le recyclage du plastique stagne à moins de 10% des volumes produits dans le monde

Don de sang
La mésentente traditionnelle entre chiens et chats a été provisoirement mise entre parenthèses, lorsqu'un félin de Nouvelle-Zélande a été sauvé grâce à une transfusion de sang prélevé sur un membre de la race canine, un cas rare de transfusion entre espèces, a rapporté mercredi la presse.
Rory, un chat au poil roux, avait avalé de la mort au rat et a été amené par sa propriétaire, Kim Edwards, aux urgences vétérinaires de la petite ville de Tauranga (île du nord), racontent les journaux néo-zélandais.
L'état de santé du chat se détériorait rapidement et nécessitait une transfusion en toute urgence, mais la vétérinaire, Kate Heller, ne disposait pas de suffisamment de temps pour envoyer un échantillon au laboratoire pour tester le groupe sanguin du malade.
Elle a donc décidé d'utiliser du sang de chien, qu'elle a prélevé sur l'animal d'une voisine, un labrador. "Les gens vont penser que la procédure est vraiment limite, et elle l'est... Mais ça a marché et nous avons sauvé sa vie", a déclaré la vétérinaire au New Zealand Herald.
"Les vétos ont fait vraiment tout ce qui était possible, et même au-delà... C'est incroyable que ça ait marché", s'est réjouie la propriétaire du félin. Quelques jours après les faits, "Rory a complètement récupéré. Et nous n'avons pas un chat qui aboie ou qui va chercher le journal".
La mésentente traditionnelle entre chiens et chats a été provisoirement mise entre parenthèses, lorsqu'un félin de Nouvelle-Zélande a été sauvé grâce à une transfusion de sang prélevé sur un membre de la race canine, un cas rare de transfusion entre espèces, a rapporté mercredi la presse.
Rory, un chat au poil roux, avait avalé de la mort au rat et a été amené par sa propriétaire, Kim Edwards, aux urgences vétérinaires de la petite ville de Tauranga (île du nord), racontent les journaux néo-zélandais.
L'état de santé du chat se détériorait rapidement et nécessitait une transfusion en toute urgence, mais la vétérinaire, Kate Heller, ne disposait pas de suffisamment de temps pour envoyer un échantillon au laboratoire pour tester le groupe sanguin du malade.
Elle a donc décidé d'utiliser du sang de chien, qu'elle a prélevé sur l'animal d'une voisine, un labrador. "Les gens vont penser que la procédure est vraiment limite, et elle l'est... Mais ça a marché et nous avons sauvé sa vie", a déclaré la vétérinaire au New Zealand Herald.
"Les vétos ont fait vraiment tout ce qui était possible, et même au-delà... C'est incroyable que ça ait marché", s'est réjouie la propriétaire du félin. Quelques jours après les faits, "Rory a complètement récupéré. Et nous n'avons pas un chat qui aboie ou qui va chercher le journal".

Arbre symbole
Le symbole "de l'indépendance éternelle" du Tadjikistan, un Séquoia de 50 ans, s'est desséché à peine cinq mois après avoir été solennellement planté dans la capitale Douchanbé, par le président de cette ex-république soviétique, a constaté mercredi un journaliste de l'AFP.
Deux arbres Sequoia, conifères originaires de Californie, avaient été plantés en mars par des ambassadeurs étrangers mais aussi par le président Emomali Rakhmon devant le ministère des Affaires étrangères du Tadjikistan lors d'une cérémonie officielle.
Les arbres avaient été plantés à une dizaine de mètres l'un de l'autre, l'un au sud du bâtiment et l'autre au nord, "au nom de l'indépendance éternelle du Tadjikistan", avaient alors rapporté les médias d'Etat.
Mais à peine cinq mois après leur plantation, le spécimen situé au sud, planté par le président, s'est desséché, a constaté un journaliste de l'AFP.
La chaleur anormale en juillet qui a affecté le pays pourrait être à l'origine de l'incident.
Pour l'instant, les autorités n'ont pas annoncé ce qu'elles comptaient faire de l'arbre desséché.
Le Tadjikistan, pays pauvre d'Asie centrale qui a une frontière poreuse de 1.340 km avec l'Afghanistan, a obtenu son indépendance à la chute de l'URSS en 1991.
Le président Rakhmon dirige le Tadjikistan depuis 1992.
En 2004, un précédent symbole "de la vie éternelle", une construction métallique de 23 mètres de haut, avait été détruite à Douchanbé juste avant son inauguration par des rafales de vent.
Le symbole "de l'indépendance éternelle" du Tadjikistan, un Séquoia de 50 ans, s'est desséché à peine cinq mois après avoir été solennellement planté dans la capitale Douchanbé, par le président de cette ex-république soviétique, a constaté mercredi un journaliste de l'AFP.
Deux arbres Sequoia, conifères originaires de Californie, avaient été plantés en mars par des ambassadeurs étrangers mais aussi par le président Emomali Rakhmon devant le ministère des Affaires étrangères du Tadjikistan lors d'une cérémonie officielle.
Les arbres avaient été plantés à une dizaine de mètres l'un de l'autre, l'un au sud du bâtiment et l'autre au nord, "au nom de l'indépendance éternelle du Tadjikistan", avaient alors rapporté les médias d'Etat.
Mais à peine cinq mois après leur plantation, le spécimen situé au sud, planté par le président, s'est desséché, a constaté un journaliste de l'AFP.
La chaleur anormale en juillet qui a affecté le pays pourrait être à l'origine de l'incident.
Pour l'instant, les autorités n'ont pas annoncé ce qu'elles comptaient faire de l'arbre desséché.
Le Tadjikistan, pays pauvre d'Asie centrale qui a une frontière poreuse de 1.340 km avec l'Afghanistan, a obtenu son indépendance à la chute de l'URSS en 1991.
Le président Rakhmon dirige le Tadjikistan depuis 1992.
En 2004, un précédent symbole "de la vie éternelle", une construction métallique de 23 mètres de haut, avait été détruite à Douchanbé juste avant son inauguration par des rafales de vent.