Autres articles
-
La neige au plus bas dans l'Himalaya
-
Où se cache la vie extraterrestre ?
-
Environ 15% des terres cultivables dans le monde sont contaminées aux métaux lourds
-
En Espagne, un village veut sauver ses oliviers face à l'essor du photovoltaïque
-
Le recyclage du plastique stagne à moins de 10% des volumes produits dans le monde

Miraculée
Une mère suédoise a raconté lundi la naissance miraculeuse et mouvementée de sa fille, dans une voiture à laquelle le père a fait faire quatre tonneaux sous le coup de la panique.
"Je me sens mieux. Mais j'ai mal dans tout le corps", a déclaré à la chaîne de télévision publique SVT la mère, Samaher Mezban.
Dimanche en fin d'après-midi, alors que son mari la conduisait en urgence à la maternité de Gävle (Est), elle était sur le siège passager quand sa fille est née. "Elle m'a dit: elle sort! elle sort! elle sort! (...) J'ai vu ma fille sortir et tomber directement par terre la tête la première", a rapporté le père, Mokhles Raheema.
Quittant la route des yeux, il a conduit sa voiture dans le fossé, et elle a fait quatre tonneaux. Quand elle s'est stabilisée, il a vu que sa femme à côté de lui et les deux aînés à l'arrière (un et huit ans) étaient conscients. Mais il ne trouvait pas le nouveau-né.
Finalement, "elle était sous le siège, en dessous de sa maman. Je suis allé la chercher, je l'ai prise contre moi. Elle pleurait", a expliqué le père.
Les secours, prévenus par un autre automobiliste, ont pu emmener les cinq membres de la famille en bonne santé à l'hôpital.
"Je suis très heureuse que ma famille ait survécu", a déclaré la mère. Le père s'est dit désolé pour l'ami dont il a détruit le véhicule.
Une mère suédoise a raconté lundi la naissance miraculeuse et mouvementée de sa fille, dans une voiture à laquelle le père a fait faire quatre tonneaux sous le coup de la panique.
"Je me sens mieux. Mais j'ai mal dans tout le corps", a déclaré à la chaîne de télévision publique SVT la mère, Samaher Mezban.
Dimanche en fin d'après-midi, alors que son mari la conduisait en urgence à la maternité de Gävle (Est), elle était sur le siège passager quand sa fille est née. "Elle m'a dit: elle sort! elle sort! elle sort! (...) J'ai vu ma fille sortir et tomber directement par terre la tête la première", a rapporté le père, Mokhles Raheema.
Quittant la route des yeux, il a conduit sa voiture dans le fossé, et elle a fait quatre tonneaux. Quand elle s'est stabilisée, il a vu que sa femme à côté de lui et les deux aînés à l'arrière (un et huit ans) étaient conscients. Mais il ne trouvait pas le nouveau-né.
Finalement, "elle était sous le siège, en dessous de sa maman. Je suis allé la chercher, je l'ai prise contre moi. Elle pleurait", a expliqué le père.
Les secours, prévenus par un autre automobiliste, ont pu emmener les cinq membres de la famille en bonne santé à l'hôpital.
"Je suis très heureuse que ma famille ait survécu", a déclaré la mère. Le père s'est dit désolé pour l'ami dont il a détruit le véhicule.

Détenu
Un Néerlandais accusé d'avoir provoqué les larmes d'un policier lors d'une manifestation anti-gouvernementale aux Philippines fin juillet a été placé en détention par le Bureau de l'immigration, ont indiqué les autorités mardi. Thomas van Beersum avait été photographié le 22 juillet en train de s'en prendre vivement à un policier, sur lequel il semble hurler. Cette image a été largement diffusée sur Internet.
Lors d'un rassemblement devant le palais présidentiel où le président Benigno Aquino prononçait son discours annuel, le jeune homme "a participé à une manifestation (...) pendant laquelle il s'en est pris au gouvernement et à un officier de police, en utilisant des termes injurieux", a déclaré à l'AFP Antonette Mangrobang, porte-parole du Bureau de l'imigration.
"En venant dans ce pays, sa véritable intention n'était ni le tourisme, ni les affaires ou les loisirs, mais de manifester contre le gouvernement et de s'impliquer dans des actes partisans, ce qui rend sa présence indésirable" aux Philippines, a-t-elle ajouté.
Le policier, qui selon les photos verse quelques larmes en tentant de repousser le jeune Néerlandais et d'autres manifestants, Joselito Sevilla, a indiqué ensuite avoir "craqué" en raison de la fatigue et de la chaleur.
Thomas Van Beersum a été arrêté mardi à l'aéroport de Manille alors qu'il s'apprêtait à prendre un avion pour les Pays-Bas. Selon la procédure officielle, le Bureau de l'immigration va vérifier s'il fait l'objet d'une plainte aux Philippines. Si ce n'est pas le cas, il sera renvoyé chez lui mais ne pourra plus remettre les pieds dans l'archipel, a indiqué Antonette Mangrobang.
Un Néerlandais accusé d'avoir provoqué les larmes d'un policier lors d'une manifestation anti-gouvernementale aux Philippines fin juillet a été placé en détention par le Bureau de l'immigration, ont indiqué les autorités mardi. Thomas van Beersum avait été photographié le 22 juillet en train de s'en prendre vivement à un policier, sur lequel il semble hurler. Cette image a été largement diffusée sur Internet.
Lors d'un rassemblement devant le palais présidentiel où le président Benigno Aquino prononçait son discours annuel, le jeune homme "a participé à une manifestation (...) pendant laquelle il s'en est pris au gouvernement et à un officier de police, en utilisant des termes injurieux", a déclaré à l'AFP Antonette Mangrobang, porte-parole du Bureau de l'imigration.
"En venant dans ce pays, sa véritable intention n'était ni le tourisme, ni les affaires ou les loisirs, mais de manifester contre le gouvernement et de s'impliquer dans des actes partisans, ce qui rend sa présence indésirable" aux Philippines, a-t-elle ajouté.
Le policier, qui selon les photos verse quelques larmes en tentant de repousser le jeune Néerlandais et d'autres manifestants, Joselito Sevilla, a indiqué ensuite avoir "craqué" en raison de la fatigue et de la chaleur.
Thomas Van Beersum a été arrêté mardi à l'aéroport de Manille alors qu'il s'apprêtait à prendre un avion pour les Pays-Bas. Selon la procédure officielle, le Bureau de l'immigration va vérifier s'il fait l'objet d'une plainte aux Philippines. Si ce n'est pas le cas, il sera renvoyé chez lui mais ne pourra plus remettre les pieds dans l'archipel, a indiqué Antonette Mangrobang.