Autres articles
-
La neige au plus bas dans l'Himalaya
-
Où se cache la vie extraterrestre ?
-
Environ 15% des terres cultivables dans le monde sont contaminées aux métaux lourds
-
En Espagne, un village veut sauver ses oliviers face à l'essor du photovoltaïque
-
Le recyclage du plastique stagne à moins de 10% des volumes produits dans le monde

George
Le prénom de "George" choisi pour le bébé royal britannique né lundi, donne une impression de générosité et d'éthique mais n'est pas très viril ni drôle, estime un professeur de psychologie américain spécialiste des prénoms.
Albert Mehrabian, professeur émérite de l'Université de Californie à Los Angeles (UCLA), interrogé par l'AFP, affirme "qu'il n'aurait pas choisi le prénom de George".
Selon ce spécialiste en psychologie qui a étudié les réactions vis-à-vis des prénoms, "George" donne une impression de générosité et d'éthique mais projette moins en revanche une idée de virilité, de succès ou de drôlerie.
Se basant sur son propre indice qui étudie la façon dont les prénoms des gens influencent les autres, M. Mehrabian donne au prénom de l'éventuel futur roi britannique une note de 36, loin du 100 parfait qu'enregistre "James".
M. Mehrabian estime que pour lui, George n'est pas un prénom "vieillot" tout en reconnaissant que le Duc et la Duchesse de Cambridge avaient bien leurs propres raisons pour l'avoir choisi.
L'arrière-arrière grand-père du bébé était le roi George V, père du roi George VI.
Pour Pam Satran, cofondatrice du site internet de prénom Nameberry.com, les Etats-Unis "adorent le prénom de George, c'est un classique qui va revenir, la naissance du bébé royal va y aider", assure-t-elle.
Le prénom de "George" choisi pour le bébé royal britannique né lundi, donne une impression de générosité et d'éthique mais n'est pas très viril ni drôle, estime un professeur de psychologie américain spécialiste des prénoms.
Albert Mehrabian, professeur émérite de l'Université de Californie à Los Angeles (UCLA), interrogé par l'AFP, affirme "qu'il n'aurait pas choisi le prénom de George".
Selon ce spécialiste en psychologie qui a étudié les réactions vis-à-vis des prénoms, "George" donne une impression de générosité et d'éthique mais projette moins en revanche une idée de virilité, de succès ou de drôlerie.
Se basant sur son propre indice qui étudie la façon dont les prénoms des gens influencent les autres, M. Mehrabian donne au prénom de l'éventuel futur roi britannique une note de 36, loin du 100 parfait qu'enregistre "James".
M. Mehrabian estime que pour lui, George n'est pas un prénom "vieillot" tout en reconnaissant que le Duc et la Duchesse de Cambridge avaient bien leurs propres raisons pour l'avoir choisi.
L'arrière-arrière grand-père du bébé était le roi George V, père du roi George VI.
Pour Pam Satran, cofondatrice du site internet de prénom Nameberry.com, les Etats-Unis "adorent le prénom de George, c'est un classique qui va revenir, la naissance du bébé royal va y aider", assure-t-elle.

Hippopotame
Après plusieurs mois de cavale, un hippopotame sud-africain a été capturé dans la station d'épuration où il avait élu domicile et transféré dans un parc naturel, a indiqué la municipalité du Cap.
Au cours de sa fuite, le jeune mâle était passé de nombreuses fois entre les mailles du filet.
Il avait notamment résidé plusieurs semaines dans le lac d'une banlieue de la ville, se promenant dans les jardins et sur les routes.
Il s'était ensuite installé dans un réservoir de la station d'épuration, dont les eaux abondantes et la végétation luxuriante constituent un lieu de prédilection pour les hippopotames de la ville en mal de liberté.
L'hippopotame s'était enfui de sa réserve, gérée par la ville, après qu'une partie de la barrière qui l'enfermait avait été volée.
La capture proprement dite de l'animal a duré 90 minutes, après quoi il a été convoyé dans un parc naturel privé situé à quelque 380 km à l'est du Cap.
"Nous étions très, très inquiets car il s'agit d'un animal dangereux", a indiqué à l'AFP Julia Wood, responsable de la gestion de la biodiversité de la ville.
La ville du Cap possède six hippopotames dans la réserve naturelle de False Bay. Ces mammifères, qui peuvent se déplacer à terre plus rapidement que l'homme, sont réputés très dangereux.
Après plusieurs mois de cavale, un hippopotame sud-africain a été capturé dans la station d'épuration où il avait élu domicile et transféré dans un parc naturel, a indiqué la municipalité du Cap.
Au cours de sa fuite, le jeune mâle était passé de nombreuses fois entre les mailles du filet.
Il avait notamment résidé plusieurs semaines dans le lac d'une banlieue de la ville, se promenant dans les jardins et sur les routes.
Il s'était ensuite installé dans un réservoir de la station d'épuration, dont les eaux abondantes et la végétation luxuriante constituent un lieu de prédilection pour les hippopotames de la ville en mal de liberté.
L'hippopotame s'était enfui de sa réserve, gérée par la ville, après qu'une partie de la barrière qui l'enfermait avait été volée.
La capture proprement dite de l'animal a duré 90 minutes, après quoi il a été convoyé dans un parc naturel privé situé à quelque 380 km à l'est du Cap.
"Nous étions très, très inquiets car il s'agit d'un animal dangereux", a indiqué à l'AFP Julia Wood, responsable de la gestion de la biodiversité de la ville.
La ville du Cap possède six hippopotames dans la réserve naturelle de False Bay. Ces mammifères, qui peuvent se déplacer à terre plus rapidement que l'homme, sont réputés très dangereux.