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Service spécial
Après les révélations de l’informaticien américain Edward Snowden, l’un des services spéciaux russes a décidé d’acheter des machines à écrire pour taper des documents secrets, écrit jeudi le quotidien russe Izvestia.
Le FSO, Service fédéral de protection, issu de l’ancien KGB, a lancé un appel d’offres pour l’achat de 20 machines à écrire. Cette décision a été prise “après les scandales de WikiLeaks, les révélations de Snowden ainsi que les informations selon lesquelles le Premier ministre Dmitri Medvedev avait été écouté lors d’un sommet du G20 à Londres”, explique au journal une source au sein du service.
“Il a été décidé d’utiliser davantage de documents papier”, selon la même source.
Interrogé par l’AFP, le service de presse du FSO s’est refusé à tout commentaire.
Selon d’autres sources citées par le journal, les services spéciaux ainsi que le ministère de la Défense utilisent toujours des machines à écrire.
“Du point de vue de la sécurité, toute sorte de télécommunication électronique est vulnérable. On peut capter n’importe quelle information depuis un ordinateur”, selon le député et ex-directeur du FSB (ex-KGB) Nikolaï Kovalev.
“Le moyen le plus primitif est à privilégier: la main humaine ou la machine à écrire”, a-t-il ajouté, interrogé par Izvestia. L’ex-consultant du renseignement américain Edward Snowden, bloqué dans la zone de transit d’un aéroport moscovite depuis près de trois semaines, a fait des révélations fracassantes sur un programme américain de surveillance des communications mondiales.
Après les révélations de l’informaticien américain Edward Snowden, l’un des services spéciaux russes a décidé d’acheter des machines à écrire pour taper des documents secrets, écrit jeudi le quotidien russe Izvestia.
Le FSO, Service fédéral de protection, issu de l’ancien KGB, a lancé un appel d’offres pour l’achat de 20 machines à écrire. Cette décision a été prise “après les scandales de WikiLeaks, les révélations de Snowden ainsi que les informations selon lesquelles le Premier ministre Dmitri Medvedev avait été écouté lors d’un sommet du G20 à Londres”, explique au journal une source au sein du service.
“Il a été décidé d’utiliser davantage de documents papier”, selon la même source.
Interrogé par l’AFP, le service de presse du FSO s’est refusé à tout commentaire.
Selon d’autres sources citées par le journal, les services spéciaux ainsi que le ministère de la Défense utilisent toujours des machines à écrire.
“Du point de vue de la sécurité, toute sorte de télécommunication électronique est vulnérable. On peut capter n’importe quelle information depuis un ordinateur”, selon le député et ex-directeur du FSB (ex-KGB) Nikolaï Kovalev.
“Le moyen le plus primitif est à privilégier: la main humaine ou la machine à écrire”, a-t-il ajouté, interrogé par Izvestia. L’ex-consultant du renseignement américain Edward Snowden, bloqué dans la zone de transit d’un aéroport moscovite depuis près de trois semaines, a fait des révélations fracassantes sur un programme américain de surveillance des communications mondiales.

Vivre à l’aéroport
Une Mexicaine âgée de 45 ans s’est installée dans l’aéroport de la station balnéaire de Cancun (est du Mexique) où elle vit depuis qiuelques jours sans qu’on en sache la raison, a constaté mercredi un journaliste de l’AFP.
Marcela Silvia Montano, qui est arrivée le 30 juin dans le terminal, passe la plupart de son temps dans la zone des contrôles d’identité, couchée sur des couvertures, dans le petit recoin d’un extincteur, avec une veste pliée en guise d’oreiller.
Protégée par un charriot chargé de sept valises, la femme proteste chaque fois que quelqu’un s’approche d’elle.
Mme Montano, qui est toujours bien habillée, maquillée et porte parfois des lunettes de soleil, a été parfaitement identifiée par les autorités aéroportuaires.
“Nous avons sollicité l’aide de la police fédérale pour retrouver des parents de cette femme”, a déclaré à l’AFP un porte-parole de l’aéroport, Eduardo Rivadeneira.
La direction du terminal veille à ce que la femme “soit bien, qu’elle garde ses affaires et que personne ne lui fasse de mal ni de dommage”, a ajouté le porte-parole. Il a précisé que Mme Montano était arrivée à Cancun avec un vol en provenance des Etats-Unis, mais sans indiquer la ville de provenance.
Une Mexicaine âgée de 45 ans s’est installée dans l’aéroport de la station balnéaire de Cancun (est du Mexique) où elle vit depuis qiuelques jours sans qu’on en sache la raison, a constaté mercredi un journaliste de l’AFP.
Marcela Silvia Montano, qui est arrivée le 30 juin dans le terminal, passe la plupart de son temps dans la zone des contrôles d’identité, couchée sur des couvertures, dans le petit recoin d’un extincteur, avec une veste pliée en guise d’oreiller.
Protégée par un charriot chargé de sept valises, la femme proteste chaque fois que quelqu’un s’approche d’elle.
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