-
Le luxe de seconde main, boudé par les marques, adoré des consommateurs
-
Les demandes de congé paternité ont augmenté en Espagne durant le Mondial-2022
-
On peut presque marcher sur la Lune près de Cologne
-
En Inde, le traitement des déchets est l'affaire de tous
-
JO de Paris: Oreillers, matelas, mobilier du Village olympique bientôt réutilisés
La Chine devrait annoncer mardi de nouvelles mesures de relance
Le Nobel de médecine aux Américains Ambros et Ruvkun pour une percée dans la régulation des gènes
Kais Saied donné vainqueur de la présidentielle tunisienne
Liban: Les civils coincés entre déplacements et impossibilité de se mettre à l'abri
Insolite : Spécificité brésilienneLibé
Lundi 28 Avril 2014
Autres articles
Le football de clubs brésilien présente deux caractéristiques insolites: il regorge de surnoms cocasses ou homonymes prestigieux, et représente un eldorado pour les trentenaires frisant la quarantaine. Petit florilège non exhaustif. . Des noms, des noms ! L’identité des joueurs des championnats brésiliens n’est pas toujours celle de l’état-civil. Un simple prénom, un diminutif voire un surnom font souvent l’affaire. Dans le registre animalier, il y a Ganso: le milieu dégingandé était perçu comme une “oie” à 15 ans par le magasinier de Santos. Son coéquipier au Sao Paulo FC, l’attaquant Pato, tient son nom de sa ville, Pato Branco, et non du “canard”. Eduardo Ratinho (Operario) a été surnommé “petite souris” parce qu’il est petit et rapide. Si plusieurs joueurs partagent le même prénom ou sobriquet (Alex, Juninho, etc.), d’autres ont des noms ou surnoms lourds à porter dans le foot: Diego Maradona (défenseur d’Horizonte), Patrick Vieira (Palmeiras), Balotelli (Audax Rio), plusieurs Romario... Il y a aussi les inclassables, comme Alan Kardec (Palmeiras), qui renvoie à ce Français du XIXe siècle, chantre du spiritisme, ou encore deux joueurs dont on a perdu la trace, l’un au nom d’acteur français, l . L’âge ne fait rien à l’affaire... Au Brésil, on peut largement jouer après 30 ans et même 35, les exemples fourmillent. Il y a d’abord les gardiens, notamment Rogerio Ceni, capitaine-buteur de Sao Paulo, qui dispute en 2014 sa dernière saison, à 41 ans, ou encore Dida (Internacional), ancien portier de la Seleçao, qui aura le même âge en octobre. Mais les joueurs de champ ne manquent pas: le Néerlandais Clarence Seedorf a achevé sa glorieuse carrière en décembre au bout d’un an et demi à Botafogo, à 37 ans, remplacé par Jorge Wagner (35 ans). L’ancien Lyonnais Juninho a raccroché le jour de ses 39 ans, à Vasco de Gama. Et le milieu Zé Roberto, qui aura 40 printemps en juillet, cavale toujours du côté du Grêmio ! Et l’âge ne réfrène pas l’ambition. Témoin cet attaquant nommé Somalia (36 ans), qui posait le 1er février lors de sa présentation au club de Bonsucesso avec ce message: “Somalia, futur meilleur buteur du Carioca 2014”. Résultat? Trois petits buts.
Lu 161 fois
Nouveau commentaire :
Dans la même rubrique :
Dossiers du weekend | Actualité | Spécial élections | Les cancres de la campagne | Libé + Eté | Spécial Eté | Rétrospective 2010 | Monde | Société | Régions | Horizons | Economie | Culture | Sport | Ecume du jour | Entretien | Archives | Vidéo | Expresso | En toute Libé | USFP | People | Editorial | Post Scriptum | Billet | Rebonds | Vu d'ici | Scalpel | Chronique littéraire | Chronique | Portrait | Au jour le jour | Edito | Sur le vif | RETROSPECTIVE 2020 | RETROSPECTIVE ECO 2020 | RETROSPECTIVE USFP 2020 | RETROSPECTIVE SPORT 2020 | RETROSPECTIVE CULTURE 2020 | RETROSPECTIVE SOCIETE 2020 | RETROSPECTIVE MONDE 2020 | Videos USFP | Economie_Zoom | Economie_Automobile | TVLibe |
Société - Libé - 0 Commentaire - 06/10/2024
Un Marocain primé au Salon international des inventions d'Adana
|
||||
|