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"On ne peut pas continuer ainsi, que le monde entier voie dans la seconde qui suit s'il y a une erreur ou pas, et que le seul à ne pas voir soit l'arbitre", a déclaré le président de la Fédération internationale lors de la conférence de presse de clôture du Congrès annuel de la Conmebol à Buenos Aires.
"L'arbitrage vidéo va aider les arbitres. Le football est un jeu et nous avons la responsabilité qu'il soit le plus juste et transparent possible. (Avec l'arbitrage vidéo), on passe d'une erreur grave toutes les trois rencontres, à une erreur grave tous les 19 matches", a-t-il assuré.
A Madrid, en quart de finale de la Ligue des champions, alors que la Juventus menait 3-0 dans le temps additionnel, synonyme de prolongation, l'arbitre a sifflé un penalty en faveur du Real pour un contact entre le défenseur de la Juventus Benatia et le Madrilène Vasquez.
Le Real l'a transformé et s'est qualifié pour les demi-finales, déclenchant les protestations des joueurs de la Juventus.
Infantino a rappelé que l'arbitrage vidéo serait en vigueur durant le Mondial-2018 en Russie.