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Le médecin personnel de Michael Jackson, Conrad Murray, a été inculpé d'homicide involontaire à Los Angeles à l'issue de plusieurs mois d'enquête.
Le Dr Conrad Murray était au centre de l'enquête depuis que les services de médecine légale avaient imputé à une overdose de médicaments la mort du "roi de la pop", survenue le 25 juin dernier.
Selon les rapports de police, Murray se trouvait au domicile du chanteur au moment de son décès et a reconnu ensuite lui avoir administré du propofol, un puissant anesthésique, pour l'aider à trouver le sommeil. Lors de l'autopsie, les médecins légistes ont retrouvé dans le corps de Michael Jackson un cocktail d'antidouleurs, de sédatifs et un produit stimulant. Ils ont conclu en août que la mort avait été provoquée essentiellement par l'ingestion de propofol et d'un sédatif appelé lorazepam.
Le parquet de Los Angeles a inculpé Conrad Murray d'homicide involontaire, expliquant dans l'acte d'accusation qu'il a "illégalement et sans préméditation, tué Michael Joseph Jackson". S'il est reconnu coupable, le docteur Murray est passible d'une peine maximale de quatre ans de prison ferme, a indiqué le parquet. Il devait être présenté à un juge dès lundi soir.
Durant l'enquête, Murray s'est défendu d'avoir mal agi et a dit aux enquêteurs ne pas avoir été le premier médecin à donner du propofol à Michael Jackson, peut-on lire dans les documents judiciaires. Ce cardiologue avait été engagé en mai 2009 pour veiller sur le chanteur qui préparait alors une série de 50 concerts à Londres devant marquer son grand retour sur la scène musicale, après des années de déclin sur fond de démêlés judiciaires. A sa mort, le monde entier a rendu hommage à Michael Jackson, vedette dès son enfance aux côtés de ses frères dans les Jackson Five puis auteur en 1982 du disque le plus vendu de l'Histoire, "Thriller".
Le Dr Conrad Murray était au centre de l'enquête depuis que les services de médecine légale avaient imputé à une overdose de médicaments la mort du "roi de la pop", survenue le 25 juin dernier.
Selon les rapports de police, Murray se trouvait au domicile du chanteur au moment de son décès et a reconnu ensuite lui avoir administré du propofol, un puissant anesthésique, pour l'aider à trouver le sommeil. Lors de l'autopsie, les médecins légistes ont retrouvé dans le corps de Michael Jackson un cocktail d'antidouleurs, de sédatifs et un produit stimulant. Ils ont conclu en août que la mort avait été provoquée essentiellement par l'ingestion de propofol et d'un sédatif appelé lorazepam.
Le parquet de Los Angeles a inculpé Conrad Murray d'homicide involontaire, expliquant dans l'acte d'accusation qu'il a "illégalement et sans préméditation, tué Michael Joseph Jackson". S'il est reconnu coupable, le docteur Murray est passible d'une peine maximale de quatre ans de prison ferme, a indiqué le parquet. Il devait être présenté à un juge dès lundi soir.
Durant l'enquête, Murray s'est défendu d'avoir mal agi et a dit aux enquêteurs ne pas avoir été le premier médecin à donner du propofol à Michael Jackson, peut-on lire dans les documents judiciaires. Ce cardiologue avait été engagé en mai 2009 pour veiller sur le chanteur qui préparait alors une série de 50 concerts à Londres devant marquer son grand retour sur la scène musicale, après des années de déclin sur fond de démêlés judiciaires. A sa mort, le monde entier a rendu hommage à Michael Jackson, vedette dès son enfance aux côtés de ses frères dans les Jackson Five puis auteur en 1982 du disque le plus vendu de l'Histoire, "Thriller".