-
Dans la Corne de l'Afrique, une dangereuse escalade entre Ethiopie et Somalie
-
Pékin "en alerte" après la traversée du détroit de Taïwan par un navire japonais
-
Les frappes israéliennes au Liban se poursuivent: Tel-Aviv rejette un appel international au cessez-le-feu
-
Nouvelles frappes israéliennes sur le Liban au lendemain d'une journée meurtrière
-
La France a "un des pires déficits de (son) histoire"
«Je ne suis pas aussi optimiste que M.Brahimi. Je suis cependant persuadée que le président syrien Bachar Al-Assad ne se maintiendra pas au pouvoir jusqu’à l’expiration de son mandat en 2014. Autrement dit, l’année 2013 sera déterminante», a déclaré l’experte.
Et d’ajouter que la déclaration sur un possible règlement pacifique du problème ressemblait plutôt à un cadeau de Nouvel An qui ne serait sans doute pas offert l’année prochaine. «Je crains que l’effusion de sang ne se poursuive l’année prochaine en Syrie car la confrontation n’y faiblira pas même après le départ du président Assad», a indiqué Mme Souponina. A l’issue de négociations à Moscou avec le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov, M.Brahimi a estimé qu’il serait possible début 2013 de désamorcer politiquement la crise syrienne. De son côté, le chef de la diplomatie russe a plaidé pour le retour des observateurs de l’ONU en Syrie et pour une augmentation de leur nombre. La Syrie est secouée depuis près de 21 mois par un conflit entre gouvernement et opposition, qui a déjà fait 45.000 morts.