La réalisatrice maroco-tunisienne Hind Meddeb a captivé le public avec son documentaire Soudan, souviens-toi. Une œuvre émouvante qui plonge dans le quotidien de jeunes militants soudanais, témoins et acteurs des bouleversements ayant conduit à la chute du régime d’Omar El-Béchir en 2019.
Pendant 76 minutes, Hind Meddeb dresse le portrait vibrant d’une jeunesse soudanaise résolue à bâtir un avenir démocratique. À travers l’art, la littérature et la musique, ces jeunes militants expriment leurs aspirations et leur lutte pour les droits humains. Le documentaire dévoile des fresques peintes en hommage aux activistes disparus, des poèmes enflammés dédiés à la patrie, et des chants porteurs d’espoir, capturant ainsi l’élan créatif et révolutionnaire qui anime ces jeunes.
"Ce film donne la parole à ceux qui vivent et ressentent la lutte au quotidien, loin des discours politiques officiels", a déclaré Hind Meddeb. Une tribune sincère et spontanée qui met en lumière la capacité de l’art à transcender les frontières et à incarner le rêve d’une société plus juste.
Pour la réalisatrice, Soudan, souviens-toi s’inscrit dans la continuité de ses projets précédents, comme Electro Chaâbi et Tunisia Clash, où la création musicale devient un acte de militantisme. Ce documentaire, soutenu par les Ateliers de l’Atlas, constitue un message universel, dédié notamment aux peuples occidentaux. "La jeunesse arabe partage les mêmes rêves que les autres, des rêves d’espoir, de dignité et de liberté", a-t-elle confié.
Fille d’une mère marocaine et d’un père tunisien, Hind Meddeb a présenté pour la première fois l’un de ses films au Maroc, une expérience qu’elle décrit comme un rêve devenu réalité.
Accompagnée par Shajan, une activiste soudanaise présente dans le film, Hind Meddeb a été accueillie par une ovation chaleureuse au Palais des congrès de Marrakech. Visiblement émue, Shajan a évoqué "des souvenirs intenses de moments cruciaux de l’histoire de [son] pays", tout en soulignant le rôle de l’art comme moteur de changement et d’espoir.
Le film participe à la compétition officielle du festival, aux côtés de 14 longs-métrages réalisés par des cinéastes du monde entier. Ces œuvres, souvent premières ou deuxièmes réalisations, explorent des perspectives uniques, reflétant la diversité et la richesse de la création cinématographique contemporaine.
Avec Soudan, souviens-toi, Hind Meddeb nous rappelle le rôle du cinéma comme miroir des luttes sociales et espace d’expression pour les voix marginalisées. Ce documentaire, profondément humain et universel, illustre la puissance de l’art dans la quête de justice et de liberté, tout en rendant hommage à une jeunesse soudanaise déterminée à écrire son propre avenir.
Pendant 76 minutes, Hind Meddeb dresse le portrait vibrant d’une jeunesse soudanaise résolue à bâtir un avenir démocratique. À travers l’art, la littérature et la musique, ces jeunes militants expriment leurs aspirations et leur lutte pour les droits humains. Le documentaire dévoile des fresques peintes en hommage aux activistes disparus, des poèmes enflammés dédiés à la patrie, et des chants porteurs d’espoir, capturant ainsi l’élan créatif et révolutionnaire qui anime ces jeunes.
"Ce film donne la parole à ceux qui vivent et ressentent la lutte au quotidien, loin des discours politiques officiels", a déclaré Hind Meddeb. Une tribune sincère et spontanée qui met en lumière la capacité de l’art à transcender les frontières et à incarner le rêve d’une société plus juste.
Pour la réalisatrice, Soudan, souviens-toi s’inscrit dans la continuité de ses projets précédents, comme Electro Chaâbi et Tunisia Clash, où la création musicale devient un acte de militantisme. Ce documentaire, soutenu par les Ateliers de l’Atlas, constitue un message universel, dédié notamment aux peuples occidentaux. "La jeunesse arabe partage les mêmes rêves que les autres, des rêves d’espoir, de dignité et de liberté", a-t-elle confié.
Fille d’une mère marocaine et d’un père tunisien, Hind Meddeb a présenté pour la première fois l’un de ses films au Maroc, une expérience qu’elle décrit comme un rêve devenu réalité.
Accompagnée par Shajan, une activiste soudanaise présente dans le film, Hind Meddeb a été accueillie par une ovation chaleureuse au Palais des congrès de Marrakech. Visiblement émue, Shajan a évoqué "des souvenirs intenses de moments cruciaux de l’histoire de [son] pays", tout en soulignant le rôle de l’art comme moteur de changement et d’espoir.
Le film participe à la compétition officielle du festival, aux côtés de 14 longs-métrages réalisés par des cinéastes du monde entier. Ces œuvres, souvent premières ou deuxièmes réalisations, explorent des perspectives uniques, reflétant la diversité et la richesse de la création cinématographique contemporaine.
Avec Soudan, souviens-toi, Hind Meddeb nous rappelle le rôle du cinéma comme miroir des luttes sociales et espace d’expression pour les voix marginalisées. Ce documentaire, profondément humain et universel, illustre la puissance de l’art dans la quête de justice et de liberté, tout en rendant hommage à une jeunesse soudanaise déterminée à écrire son propre avenir.