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L'explorateur Stéphane Lévin s'est prêté à cette étonnante expérience : muni de capteurs avant et après son expédition, il a dû passer 5 mois en Arctique seul, dans l'obscurité, trois mois et demi sans soleil, à des températures de -40°C. Les données récoltées lors de cette expédition montrent, plus encore que le facteur solaire, que la température ambiante agit sur notre sommeil. "Elle est capable de déclencher une réponse conduisant à des nuits de seize à dix-huit heures de sommeil et à une augmentation de 75 % de la somnolence pendant la journée" explique Christian Bourbon. Comme l'ours polaire, pendant l'hibernation, Stéphane Lévin alterne de nombreuses phases d'éveil et de sommeil. Cette expédition a demandé une grande rigueur et un travail colossal à l'explorateur qui, satisfait des résultats, a permis une grande avancée sur la question du sommeil.