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A l’entame de celle-ci, le président de la Chambre des représentants, Habib El Malki, a mis en avant le fait que ce projet de loi intervient deux ans et demi après l’adoption de la Loi organique des finances et s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de ses dispositions. Lesquelles, a-t-il soutenu, permettront aux parlementaires de prendre part de manière effective à la prise de décision dans le domaine des finances, que ce soit durant la phase de la préparation du PLF ou celle de sa discussion ou de sa mise en application.
Habib El Malki a également affirmé que cette Loi organique a consacré un nouveau concept basé sur la logique de résultats.
Il a, par ailleurs, souligné que l’une des réformes qui vont être introduites en 2018 concerne l’adoption du programme qui va servir de cadre à l’ensemble des projets que chaque département ministériel entend réaliser. Ce programme devra être accompagné de plusieurs indicateurs permettant de mesurer les résultats obtenus, ce qui conférera à la gestion de la chose publique davantage d’efficacité et permettra la reddition des comptes et l’évaluation des politiques publiques.