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Le conseiller militaire supérieur britannique pour le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord reçu par le ministre délégué chargé de l’Administration de la Défense nationale et par le Général de Corps d’Armée, Inspecteur Général des FAR
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Inauguration de la section consulaire de l'ambassade du Maroc à Washington
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Les Etats-Unis réaffirment leur soutien à l’initiative marocaine d’autonomie en tant que solution “sérieuse, crédible et réaliste”
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Ouverture d'un atelier sur le désarmement, la démobilisation et la réintégration
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Ligue des Etats arabes: Le renforcement de la lutte contre la corruption au centre d'une réunion avec la participation du Maroc
Concernant le bilan du Maroc en la matière, ce document précise que «2015 a été marqué par un recul dans plusieurs domaines, que les restrictions imposées aux groupes nationaux et internationaux de défense des droits humains ont été renforcées, qu’au moins deux Marocains ont passé l'année en prison pour dénonciation « calomnieuse » de la torture, et que nombreux sont ceux qui ont continué à purger de longues peines après des procès inéquitables pour des délits de nature politique ».
Il signale également que les lois prévoyant des peines de prison pour diffusion «de mauvaise foi » de « fausses informations» susceptibles, selon les autorités, de troubler l'ordre public, ou pour des propos jugés diffamatoires ont limité les droits à l'expression, la réunion et l’association pacifiques et que « les médias imprimés et en ligne indépendants … ont été confrontés à des poursuites et à du harcèlement ».
HWR indique que les autorités ont dispersé par la force certains rassemblements pacifiques et « continuent de manière arbitraire d’entraver de nombreuses associations ou de les empêcher d'obtenir une reconnaissance légale, alors même que la constitution de 2011 garantit la liberté d’association ». Elle rappelle aussi que « le problème de la surpopulation carcérale est aggravé du fait que les tribunaux ont souvent recours à la détention provisoire des suspects dans l’attente de leur procès ».
Malgré des lois interdisant le travail des enfants de moins de 15 ans, ajoute la même source, des milliers d'enfants en-dessous de cet âge — principalement des filles — travailleraient comme domestiques. Ceci d’autant plus que les travailleurs domestiques doivent bénéficier de mesures de protection, qui incluent notamment un salaire minimum, la limitation du temps de travail, ainsi qu'un jour de repos hebdomadaire.