-
Dans la Corne de l'Afrique, une dangereuse escalade entre Ethiopie et Somalie
-
Pékin "en alerte" après la traversée du détroit de Taïwan par un navire japonais
-
Les frappes israéliennes au Liban se poursuivent: Tel-Aviv rejette un appel international au cessez-le-feu
-
Nouvelles frappes israéliennes sur le Liban au lendemain d'une journée meurtrière
-
La France a "un des pires déficits de (son) histoire"
Cet ancien professeur de philosophie et recteur de la prestigieuse université privée GIPA avait brièvement occupé le poste de ministre de l’Education et de vice-Premier ministre dans le gouvernement d’Ivanichvili.
S’il gagne, M. Margvelachvili n’aura pas autant de pouvoirs que son prédécesseur, la fonction présidentielle devenant moins importante que celle du Premier ministre aux termes d’une réforme constitutionnelle.
Guiorgui Margvelachvili est crédité d’environ 40% des intentions de vote devant l’ex-président du Parlement David Bakradzé (20%). M. Margvelachvili, qui parle anglais, a promis de poursuivre la politique de l’intégration à l’Otan et à l’Union européenne lancée par Mikheïl Saakachvili. Il devra en même temps calmer le jeu avec la Russie, les relations entre les deux ex-républiques soviétiques restant très difficiles depuis la guerre éclair d’août 2008 pour le contrôle du territoire séparatiste géorgien pro-russe de l’Ossétie du Sud. “Comparé à Saakachvili, il représente évidemment un tout autre type d’homme politique”, souligne le politologue Alex Rondeli. “Peut-être que c’est l’homme dont la Géorgie a besoin en ce moment”, ajoute-t-il.