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Google et ses partenaires éventuels ont eu des discussions préliminaires mais n'ont pas formulé de proposition officielle et, in fine, Google pourrait renoncer à mener l'affaire jusqu'au bout, explique-t-on.
Une fusion entre les deux moteurs de recherche ne manquerait pas de susciter un examen de la part des autorités de la concurrence.
Google est intéressé par la vente de certaines publicités sur les sites Yahoo, précise le Wall Street Journal dans son édition de samedi.
Microsoft aussi serait sur les rangs et envisagerait également de financer une partie d'une offre sur Yahoo via une société de capital-investissement.
Yahoo, qui a limogé sa directrice générale Carol Bartz début septembre, a engagé la banque d'affaires Allen & Co pour l'aider à mener un "examen stratégique" de son activité. Le moteur de recherche serait aussi à la recherche d'un nouveau patron grâce aux services du cabinet de chasseurs de têtes Heidrick & Struggles.
Un certain nombre de groupes ont exprimé leur intérêt pour Yahoo. Parmi celles-ci, les sociétés de capital-investissement Silver Lake Partners, Providence Equity Partners, Bain Capital, Hellman & Friedman, Blackstone Group et KKR ont vraisemblablement obtenu d'avoir accès aux informations financières limitées que font circuler les conseillers de Yahoo.