«Je suis soulagé! J’avais toujours le soutien du président du WAC qui m’avait proposé de signer un contrat de trois ans avant mon retour en France pour le réveillon du Nouvel an, mais il a ensuite été mis en minorité par son conseil d’administration (…) ». Et d’ajouter : « J’avais écarté une dizaine de joueurs dont certaines vedettes locales qui, à mon sens, n’avaient pas le niveau. Et on avait prévu de recruter au mercato sept ou huit joueurs, notamment des Marocains formés en Europe. Ces joueurs-là étaient venus à Casablanca, les contrats étaient signés et au dernier moment, l’un des vice-présidents à tout déchiré ! Les joueurs écartés ont comploté et certains au club ou autour du club ne voyaient pas ces recrutements d’un bon œil parce qu’ils concernaient essentiellement des joueurs libres. Or, au Maroc, il y a tout un business autour des transferts payants», rapporte le site wydadnews.com.
Des dires qui risquent de fâcher plus d’un.