-
À Sète, Mustapha Jmahri explique l’identité maritime d’El-Jadida
-
Journée culturelle bissau-guinéenne au Théâtre Mohammed V : Bonnes performances du groupe «Netos de Bandim» et de l'artiste musicien Binham Quimor
-
La diversité culturelle du Maroc célébrée au Village de la Francophonie à Paris
-
"Le plus grand mariage du monde", un spectacle célébrant les traditions marocaines le 7 décembre prochain à Casablanca
Cette exposition, qui fait découvrir des paysages entrevus à travers des voiles recouvrant une partie des pièces, donne à voir les œuvres d'une artiste qui utilise très peu de couleurs, alternant le gris, le noir, le blanc et le bleu, a indiqué lundi un communiqué de la galerie. Les œuvres proposent des intérieurs minimalistes marqués par un travail dans les trois dimensions et qui ne se réduit ni à la peinture ni à la sculpture. De même, le cadre n'est pas seulement un support fonctionnel puisqu'il sert d'attache aux multiples petites sculptures de pierre ou de fil de fer qu'elle met en scène.
L'artiste travaille ses différents matériaux notamment les fils de fer usés, papiers, tissus déchirés, morceaux de fils électriques, pierres d'alun. Sa démarche est fondée sur la pratique de la "déconstruction" puisqu'elle utilise, pour créer ses paysages, une multitude de matériaux usés, fragmentés et raccordés par des bouts de tissus eux-mêmes déchirés et troués.
Ses œuvres font naître des assemblages mosaïqués et hétéroclites proches des fantastiques paysages sous-marins décrits par Jules Verne dans "Vingt mille lieues sous les mers".