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A travers ce Forum de trois jours, placé sous le signe "La solidarité des jeunes du monde pour la paix", les initiateurs se proposent de contribuer à la consolidation du développement, à la diffusion des valeurs de paix, de tolérance et au refus de la violence.
Au terme de cette manifestation, à laquelle ont pris part des jeunes représentant 19 pays, les participants ont mis l'accent sur la nécessité de renforcer les liens de communication entre les jeunes en vue d'échanger leurs expériences et leurs points de vue sur des questions d'intérêt commun.
A propos du projet d'autonomie proposé par le Maroc pour le règlement définitif de la question du Sahara, les participants ont souligné la nécessité d'œuvrer pour une plus large vulgarisation de cette initiative qui constitue l'unique solution réaliste et pacifique à même de mettre fin à ce conflit artificiel.
Mettant l'accent sur la nécessité de prendre en considération les spécificités locales dans l'instauration du système de la régionalisation, les participants ont plaidé pour l'implication du tissu associatif dans l'élaboration de toute vision prospective de la régionalisation.
Par ailleurs, les participants ont appelé à la réouverture de la ligne maritime entre les Iles Canaries et les provinces du Sud et à la création d'un fonds de soutien aux investissements au profit des Marocains résidant à l'étranger (MRE) originaires des provinces du Sud.
Les délégations ayant participé à ce Forum représentent la Tunisie, la Mauritanie, la Côte-d'Ivoire, la Jordanie, la Palestine, le Yémen, l'Irak, la Mongolie, le Bangladesh, la Malaisie, la Thaïlande, le Pakistan, l'Afghanistan, l'Erythrée, l'Espagne, la Pologne et la France, en plus des représentants du Maroc.
Selon une rumeur qui a circulé dans les coulisses du Forum, au moment de l'ouverture des travaux de celui-ci, Mohamed Socrate, président de l'Union internationale pour le soutien du projet d'autonomie du Sahara, aurait publié un communiqué dénonçant la tenue du Forum. Hassan Malki, porte-parole de l'union, soutenu par d'autres membres du bureau de cette structure a déclaré à la presse que les deux tiers des membres de ce bureau réunis en session extraordinaire, ont décidé l'éviction du nommé Socrate qui, a-t-il ajouté, ne représente que lui-même et porte préjudice à la renommée et à la crédibilité de l'Union. M. Malki a distribué un communiqué, dont Libé a reçu copie confirmant le soutien de l'Union à la tenue du Forum qui oeuvre, selon le communiqué, pour les mêmes objectifs, à savoir l'autonomie du Sahara et la défense de l'intégrité territoriale du Royaume.