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Fin d’un calvaire pour le Chabab Atlas Khénifra : Gazon artificiel pour un football authentique

Vendredi 14 Janvier 2011

Bonne nouvelle pour les Khénifris. Leur rêve deviendra bientôt une réalité. Le stade municipal sera doté d’une pelouse gazonnée. Les travaux de la pause et l’habillage de la pelouse synthétique du stade municipal ont bel et bien été entamés. Sa disponibilité est désormais question de temps. Enfin, le Chabab Atlas Khénifra aura un véritable terrain doté d’une pelouse flambant neuve en gazon artificiel. Il faut dire que la pelouse du stade municipal a été gazonnée avant, mais il y a quelques années, certains responsables « de génie »  ont bêtement et abusivement ôté le gazon naturel pour le transformer en terre battue. Ce qui a obligé le CAK à évoluer toujours, lorsqu’il était en seconde division élite, loin de son public. Ce qui a provoqué bien sûr sa relégation chez les amateurs encore une fois. Ce projet s’inscrit dans le cadre d’un programme auquel les responsables ont alloué 500 millions de centimes pour la création de plusieurs terrains de proximité dans les différents quartiers de la ville. Cependant,  vu l’état de la pelouse du stade de Khénifra, il a été décidé d’octroyer 200 millions de centimes de ce budget pour ladite pelouse. Une initiative louable que les Khénifris ont appréciée, contrairement à ce qui s’est passé dans la construction des terrains de proximité dans les différents quartiers et qui sont au nombre de quatre. Le premier au quartier Rahma, le second au Zahra, le troisième construit à Hay Hassani et le quatrième édifié en collaboration avec l’Initiative nationale de développement humain à Hay Fellahi. Certains observateurs sur place ont constaté le non respect des normes de constructions ce qui a engendré déjà des anomalies et des défauts aberrants. Ces mêmes observateurs ont remarqué que concernant les projets Rahma et Zahra, l’eau stagne au milieu du terrain puisque ni la pente ni l’asphalte ne respectent les normes. Ainsi, l’on peut déjà observer des fissures dans les poutres. D’autres défauts sévissent dans ces constructions  publiques destinées à développer le sport et dont la source de financement reste l’argent public. Encore une fois, on est à se demander qui contrôle quoi? Y a-t-il un suivi technique ? Qui a réceptionné ces projets ? Tant de questions qu’on ne peut s’empêcher de se poser. Et qu’on ne réunisse pas encore tout un monde pour dire   qu’on est négativiste au lieu d’aller faire des enquêtes pour déterminer les responsables de ces mascarades.

KAMAL MOUNTASSIR

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