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L'"Atleti" a été contraint de jouer pendant une heure en infériorité numérique face aux champions d'Europe en titre après l'expulsion de l'attaquant Fernando Torres pour deux cartons jaunes, dus à deux fautes indiscutables sur Neymar (29e) et Sergio Busquets (36e)
"Nous avions bien commencé jusqu'à ce qu'arrive cette expulsion injuste qui conditionne beaucoup le match", a enragé le défenseur brésilien au micro de la chaîne de télévision espagnole Mega après la rencontre.
"Je crois que (le Barça) est protégé", a-t-il lancé. "Nous, nous sommes pénalisés avec la plus grande rigueur et cela fait très mal. On voit qu'il y a une peur de voir ce club éliminé. Cela nuit à l'UEFA", a-t-il accusé.
Expulsé pour une violente semelle sur Lionel Messi lors d'un match de Liga entre les deux équipes en janvier (2-1), Filipe Luis avait déjà accusé la star argentine du Barça de bénéficier de faveurs de la part des arbitres.
"Deux cartons jaunes réduisent à néant le travail de toute la semaine", a poursuivi Filipe Luis mardi soir. "Cela fait mal, le vestiaire est très contrarié. C'est difficile de nager à contre-courant."
Au passage, le Brésilien a laissé entendre que Luis Suarez, impliqué sur plusieurs accrochages avec des adversaires mardi, aurait lui aussi pu être expulsé. L'Uruguayen a inscrit un doublé pour le Barça.
"Moi, j'ai été expulsé et crucifié de manière justifiée pour un coup de pied à Messi. Mais eux, que doivent-ils faire pour être expulsés?", a-t-il ironisé, rapporte l’AFP.
Conscient de la portée de ses accusations, Filipe Luis est néanmoins revenu sur ses propos quelques minutes plus tard au micro de la radio espagnole Onda Cero. "J'ai eu le temps de me rafraîchir les idées. J'ai parlé à chaud, mais tout de même, cela fait mal de perdre comme ça. Toutes les équipes ne sont pas traitées de la même manière", s'est-il défendu.