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Coup d'envoi de la Mostra de Venise avec le retour de Beetlejuice
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Maryam Touzani: Ce que j’aime dans le cinéma, c’est pouvoir effacer les barrières quand on rentre dans les univers des uns et des autres
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Agadir à l’heure du Festival Issni N’Ourgh du film amazigh
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2ème édition du Festival international du cinéma de montagne à Ouzoud
Le long-métrage documentaire tunisien "Ghars Allah" du réalisateur Kamal Laaridhi a été primé du même prix dans la catégorie long-métrage devançant de deux voix seulement le film marocain "Pégase" du réalisateur Mohamed Mouftakir, projeté à l'ouverture de cette manifestation.
Cette session a été marquée par l'hommage rendu à la cause palestinienne à travers la projection du documentaire "Gaza-strophe, le jour d'après" des réalisateurs Samir Abdallah (Egypte) et Kheireddine Mabrouk (Algérie). Les deux réalisateurs s'étaient rendus à Gaza lors du raid israélien en 2009 et ont transmis la souffrance et la destruction qu'a connues la population palestinienne.
Pour les organisateurs, ce Festival est une opportunité de rencontres pour les intervenants dans le secteur du cinéma des pays maghrébins: réalisateurs, techniciens, chercheurs et critiques, pour explorer les pistes en vue de soutenir le cinéma maghrébin et d’élaborer une politique cinématographique maghrébine.
L’Association des cinéphiles de Nabeul, organisatrice ce Festival, préconise l'organisation de caravanes cinématographiques maghrébines et d’un festival dans chaque pays maghrébin et pour les Maghrébins établis à l'étranger.
Le Festival, qui était baptisé pour ces deux précédentes éditions "Nuits cinématographiques de Nabeul", a connu la participation de plusieurs cinéastes et nouveaux films maghrébins et internationaux dont le film "Mon cheval " du réalisateur marocain Fadil Abdellatif.