La 9ème édition du Festival de l'art du Malhoun de Fès est une nouvelle étape pour la préservation d'un art ancestral authentiquement marocain et une occasion pour accueillir des artistes de renom venant de Marrakech, Meknès et Tafilalet, ont affirmé les organisateurs.
Des grands orchestres marocains ont interprété des florilèges des plus beaux chants et un répertoire de plus de 120 poèmes du Malhoun, à l'occasion de cette 9ème édition tenue du 28 au 30 avril dernier, sous le signe "le Malhoun, le Diwan des Marocains".
Cette édition ne dérogera pas à la ligne tracée depuis le début de cette manifestation, qui consiste à rendre hommage, lors de chaque édition, à des personnalités artistiques, considérées comme des pionniers dans la préservation du Malhoun, mais aussi dans sa modernisation. Des poètes du Malhoun, des Mounchidines et des musiciens seront honorés, comme ils se doivent.
Pour les organisateurs, ce festival est actuellement considéré parmi des évènements artistiques et culturels majeurs organisés dans la capitale spirituelle du Royaume, rappelant que lors de la 6ème édition, l'académicien Abbas Al Jirari avait en effet présenté une œuvre intitulée "le projet scientifique de l'Académie du Royaume du Maroc dans le domaine de l'art du Malhoun" et un recueil poétique de Abdelaziz El Maghraoui.
Et d'ajouter que l'Académie du Royaume du Maroc avait collecté quelque 6.000 "Qacida" (poèmes) de l'art du Malhoun, au terme d'un travail colossal d'archivage informatique, mené par un comité composé d'une cinquantaine de chercheurs.
De célèbres orchestres, connus et reconnus comme les dépositaires d'un art authentique, ont animé ainsi les trois jours de ce festival, devenu un rendez-vous annuel incontournable pour les férus du Malhoun au niveau national.
Outre le volet festif, une conférence sur la thématique centrale du festival figurait également au programme de cette manifestation artistique organisée par la commune urbaine de Fès.
Des grands orchestres marocains ont interprété des florilèges des plus beaux chants et un répertoire de plus de 120 poèmes du Malhoun, à l'occasion de cette 9ème édition tenue du 28 au 30 avril dernier, sous le signe "le Malhoun, le Diwan des Marocains".
Cette édition ne dérogera pas à la ligne tracée depuis le début de cette manifestation, qui consiste à rendre hommage, lors de chaque édition, à des personnalités artistiques, considérées comme des pionniers dans la préservation du Malhoun, mais aussi dans sa modernisation. Des poètes du Malhoun, des Mounchidines et des musiciens seront honorés, comme ils se doivent.
Pour les organisateurs, ce festival est actuellement considéré parmi des évènements artistiques et culturels majeurs organisés dans la capitale spirituelle du Royaume, rappelant que lors de la 6ème édition, l'académicien Abbas Al Jirari avait en effet présenté une œuvre intitulée "le projet scientifique de l'Académie du Royaume du Maroc dans le domaine de l'art du Malhoun" et un recueil poétique de Abdelaziz El Maghraoui.
Et d'ajouter que l'Académie du Royaume du Maroc avait collecté quelque 6.000 "Qacida" (poèmes) de l'art du Malhoun, au terme d'un travail colossal d'archivage informatique, mené par un comité composé d'une cinquantaine de chercheurs.
De célèbres orchestres, connus et reconnus comme les dépositaires d'un art authentique, ont animé ainsi les trois jours de ce festival, devenu un rendez-vous annuel incontournable pour les férus du Malhoun au niveau national.
Outre le volet festif, une conférence sur la thématique centrale du festival figurait également au programme de cette manifestation artistique organisée par la commune urbaine de Fès.
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