Ingénieur de formation, l'entraîneur portugais Fernando Santos s'est bâti une solide réputation aux commandes de grands clubs grecs, pour ensuite s'atteler avec succès au lourd chantier de l'après Otto Rehhagel, l'Allemand qui a conduit la Grèce au sacre européen de 2004.
Sous la houlette de Santos depuis l'été 2010, la sélection hellénique s'est qualifiée pour l'Euro-2012 de manière convaincante, en tête de sa poule devant la Croatie et sans concéder la moindre défaite.
Quand il s'est vu confier la tâche de succéder à Rehhagel, dans la foulée d'un Mondial-2010 décevant pour la Grèce, éliminée dès la phase de poules, le technicien portugais de 57 ans était déjà un fin connaisseur du football grec.
Cette étape de sa carrière débute en 2001, quand il rejoint l'AEK Athènes pour le mener au titre national, après avoir remporté le championnat portugais deux ans plus tôt avec le FC Porto, offrant au club du nord du Portugal un cinquième titre consécutif qui lui a valu le surnom de "l'ingénieur du quintuplé".
Cet ancien joueur à la carrière très modeste passe ensuite au Panathinaikos, avant de rentrer dans sa ville natale de Lisbonne pour entraîner le Sporting Portugal. Puis, bref retour à l'AEK d'Athènes avant de prendre la direction du Benfica Lisbonne, et devenir le premier entraîneur portugais ayant passé par les trois plus grands clubs de son pays.
Mais, à l'image de son limogeage dès la première journée de sa deuxième saison au Benfica, Santos ne connaîtrait pas dans la capitale portugaise le même succès qu'à Porto.
Cet homme à l'apparence froide et au ton posé s'est alors définitivement installé en Grèce, où il a entraîné le PAOK Salonique avant d'accéder au poste de sélectionneur national, auquel il a récemment été prolongé jusqu'au Mondial-2014.
Sous la houlette de Santos depuis l'été 2010, la sélection hellénique s'est qualifiée pour l'Euro-2012 de manière convaincante, en tête de sa poule devant la Croatie et sans concéder la moindre défaite.
Quand il s'est vu confier la tâche de succéder à Rehhagel, dans la foulée d'un Mondial-2010 décevant pour la Grèce, éliminée dès la phase de poules, le technicien portugais de 57 ans était déjà un fin connaisseur du football grec.
Cette étape de sa carrière débute en 2001, quand il rejoint l'AEK Athènes pour le mener au titre national, après avoir remporté le championnat portugais deux ans plus tôt avec le FC Porto, offrant au club du nord du Portugal un cinquième titre consécutif qui lui a valu le surnom de "l'ingénieur du quintuplé".
Cet ancien joueur à la carrière très modeste passe ensuite au Panathinaikos, avant de rentrer dans sa ville natale de Lisbonne pour entraîner le Sporting Portugal. Puis, bref retour à l'AEK d'Athènes avant de prendre la direction du Benfica Lisbonne, et devenir le premier entraîneur portugais ayant passé par les trois plus grands clubs de son pays.
Mais, à l'image de son limogeage dès la première journée de sa deuxième saison au Benfica, Santos ne connaîtrait pas dans la capitale portugaise le même succès qu'à Porto.
Cet homme à l'apparence froide et au ton posé s'est alors définitivement installé en Grèce, où il a entraîné le PAOK Salonique avant d'accéder au poste de sélectionneur national, auquel il a récemment été prolongé jusqu'au Mondial-2014.
Jo de Paris. La presse américaine se fait l’écho de la “large ” victoire du Maroc sur l'équipe US
