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"L'accès à plusieurs réseaux sociaux externes est interdit à nombre de nos employés pour des raisons de sécurité", a annoncé la Commerzbank, la deuxième banque du pays, citée par le magazine.
"Autrefois, c'était le courriel qui offrait la principale opportunité pour l'introduction de logiciels dangereux, aujourd'hui ce sont les réseaux sociaux", a déclaré pour sa part Christian Fuchs, spécialiste en sécurité informatique chez Kaspersky.
Les constructeurs automobiles Volkswagen et Porsche ont également récemment interdit l'accès à leurs employés aux réseaux sociaux en ligne, tandis que le cimentier Heidelbergcement a interdit l'accès à Facebook et à Twitter, la première plate-forme mondiale de microblogs, selon le magazine.
D'autres entreprises, comme le numéro un allemand de l'énergie EON, et Linde, le producteur de gaz industriels, limitent l'accès aux réseaux Facebook et YouTube sur certains de leurs sites industriels, indique-t-on de même source.
Outre la crainte d'espionnage industriel ou de sabotage informatique, certaines entreprises, telle le constructeur automobile Daimler, ont restreint l'accès aux réseaux sociaux en ligne par peur d'une perte de productivité de leurs employés.
Et bien que 56% des entreprises justifient le besoin de restreindre l'accès à certains sites internet par des raisons de sécurité, 30% mettent plutôt en avant leur crainte de voir leurs employés passer des heures pendant le travail à communiquer sur l'Internet, selon un sondage réalisé par l'entreprise de sécurité informatique Clearswift.