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Dédiée pour abriter les ingénieurs et techniciens étrangers participant à l'édification du barrage Hassan Addakhil, cette cité, connue sous le nom de Darmchan, comprend 32 villas, dont 15 occupées par des officiers des FAR et 25 petits logements, en plus d'un café et d’une piscine.
Situé à 10 km du centre-ville d'Errachidia, sur la route N° 13 vers Meknès, ce lotissement sous haute suveillance pourrait provoquer des remous, selon une source de la commune rurale d'Elkheng, propriétaire du lotissement. Les occupants des villas et petits logements ont cessé de payer leur loyer depuis déjà 1998, pour des raisons inconnues.
Selon une attestation administrative, dûment signée par l'ex-gouverneur de cette province et le président de la commune et dont Libé possède copie, le percepteur a été incité à recouvrer les arriérés de location, en attendant le règlement définitif de cette situation anormale qui profite à des responsables, bénéficiant parfois d’un logement administratif.
Les occupants illégaux de ces logements sont des personnes qui n'ont aucune relation avec l'administration, commune, l'ex-président de la commune rurale de M'daghra, un fils de notable, ou encore un haut gradé de la Protection civile qui possède déjà un logement administratif, mitoyen de la mosquée de Boutalamine, le directeur de l’ONEP, sans parler des hauts gradés des Forces auxiliaires, entre autres.
La même source indique que cette cité est devenue un lieu de dérapages. Une enquête doit être ouverte pour élucider les tenants et aboutissants de cette situation.