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La gestion durable des zones humides, thème d'un atelier jeudi à Ifrane
Préparer les populations, ça passe déjà par des règles d’urbanisme, des règles parasismiques pour construire les maisons, ça passe aussi par ce qu’on appelle du microzonage qui consiste à voir quelles sont les zones qui sont plus dangereuses compte tenu de la géologie, de la topographie, etc. Ça consiste aussi surtout à préparer les populations à faire en sorte que les règles soient respectées, que les gens sachent comment agir, sachent qu’ils ont déjà un risque au-dessus de leurs têtes. Donc, il faut qu’ils en soient conscients. Mais tout ça, ce n’est pas non plus une fatalité. On peut malheureusement comparer ce qui peut se produire dans des pays comme Haïti où un séisme a provoqué 200 000 morts et un même séisme qui se produit au Japon ou aux Etats-Unis, mais finalement va faire peu de pertes humaines parce que les populations sont différemment préparées et les sociétés répondent de façon très variée justement à ces aléas. »