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Le Département d'Etat américain a ainsi fait part du soutien des Etats-Unis aux efforts du Maroc pour la promotion du processus démocratique en cours à travers des réformes constitutionnelles, judiciaires et politiques.
Pour Washington, « la mise en œuvre de la nouvelle Constitution dans toute son ampleur est un pas en avant sur la voie de la concrétisation des aspirations et des droits de tous les Marocains». La Secrétaire d'Etat américaine, Hillary Clinton, avait, rappelle-t-on, affirmé que les réformes annoncées, le 9 mars dernier, par SM le Roi Mohammed VI constituent "un modèle pour les autres pays de la région" et "sont porteuses de grandes promesses d'abord et avant tout pour le peuple marocain».
En France, le scrutin de vendredi a été salué comme une « étape supplémentaire sur la voie de l'avancement des réformes porteuses d'avenir», initiées par SM le Roi Mohammed VI.
Le porte-parole du ministère français des Affaires étrangères, Bernard Valero, a exprimé le « vœu de la France que ce scrutin constitue une étape supplémentaire dans la marche du Maroc sur le chemin tracé par le Roi du Maroc, qui a pris l'initiative de lancer des réformes importantes et essentielles». Le ministre britannique des Affaires étrangères, William Hague, s'est quant à lui félicité du déroulement de ce scrutin qui constitue "une consolidation de la mise en œuvre" des dispositions de la nouvelle Constitution.
Le scrutin du 25 novembre est "important" sur la voie d'une plus grande démocratie fondée sur la reddition des comptes, a-t-il ajouté.
"Au Maroc, une transition est en cours vers la démocratie ( ) il y existe une dynamique institutionnelle et politique", a affirmé, pour sa part, Matteo Mecacci, député italien et président de la commission des droits humains de l'assemblée parlementaire de l'Organisation de la sécurité et de la coopération en Europe. En qualité de membre de la mission d'observation des législatives de vendredi, il a fait état de la "transparence" et de la "pluralité" qui ont marqué ce scrutin. Son collègue de la mission d'observation, l'eurodéputé français, Gilles Parneux (socialiste), a qualifié ce scrutin d' «historique», soulignant qu'au-delà de la mission technique, "il nous a semblé important d'être aux côtés du Maroc pour manifester notre soutien à cette transition démocratique et conforter le dialogue euro-méditerranéen".
MAP