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Driss Lachguar : L’USFP s’engage à s’opposer à toute loi sur le droit de la grève visant à compromettre les acquis sociaux
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Nous en sommes à l’entame de la dernière étape avant d’en finir avec le dossier du Sahara pour nous consacrer entièrement au grand projet de développement
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Driss Lachguar préside la réunion du Conseil national de la Chabiba
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Driss Lachguar préside la réunion du Conseil national de la Chabiba
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L’USFP exprime sa grande fierté de la teneur du Discours Royal prononcé à l’occasion du 49ème anniversaire de la glorieuse Marche Verte
Le Premier secrétaire a déclaré également lors de son intervention que le gouvernement Benkirane donne l’impression d’être animé par la volonté de porter atteinte au parti et au syndicat et de ce fait ces élections professionnelles doivent être revues.
Au cours de cette rencontre qui intervient au moment où l’USFP commémore le 40ème anniversaire de l’assassinat du martyr Omar Benjelloun, Driss Lachguar a fait savoir que le parti a besoin d’un cadre syndical qui traduit ses positions et s’emploie à trouver les solutions appropriées à la situation sociale et syndicale que connaît le pays.
Il a, par ailleurs, indiqué que le parti s’oriente vers la restructuration d’une commission ouvrière pour faire face à ce gouvernement qui n’hésite pas à porter atteinte aux droits et acquis sociaux et pour commencer les préparatifs du Congrès des travailleurs ittihadis prévu au printemps prochain.
Pour que l’USFP retrouve la place qui lui sied au sein de la société, il faut qu’il y ait un retour vers les syndicats et un fort soutien à la dynamique sociale que le gouvernement tente pas tous les moyens d’affaiblir à travers, entre autres, sur les ponctions sur les salaires des grévistes.
Les militants usfpéistes de la FDT sont les défenseurs de la classe laborieuse et ils en assument la responsabilité. Ils sont également la courroie de transmission entre le parti et le syndicat et en constituent le dynamo et la force à même de permettre le retour de l’USFP à la société, a-t-il fait savoir.
Et de s’interroger sur la situation actuelle du champ syndical au regard d’une polarisation incompréhensible et d’une balkanisation qui ne dit pas son nom.
Pour sa part, Abdelhamid Fatihi, le secrétaire général de la FDT, a tenu à souligner que le retour du syndicaliste au parti est un retour aux sources et que le parti reste l’espace idoine pour le dialogue.