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Ces douze personnes devront répondre notamment de violences sur des policiers, dégradation de scooter ou vol en réunion, a-t-on précisé.
Elles seront jugées en comparution immédiate devant deux chambres du tribunal correctionnel de Paris, a-t-on ajouté. L'un des dossiers concernera quatre personnes qui seront jugées conjointement.
Une vingtaine de personnes étaient toujours en garde à vue mercredi matin à Paris à la suite de ces violences qui ont déclenché la polémique, le préfet de police, Bernard Boucault, et le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, étant la cible des attaques de la droite qui leur reproche d'avoir sous-estimé le risque d'incidents.
Outre les interpellations opérées à Paris, huit jeunes soupçonnés d'avoir participé à ces incidents ont été arrêtés dans la nuit de lundi à mardi en Seine-Saint-Denis et dans le Val d'Oise.
Les premiers procès relatifs à ces procès devraient aider à cerner le "profil" des fauteurs de troubles.
Les perturbateurs étaient-ils d'anciens "ultras", victimes de la politique de sécurisation du Parc des Princes mise en place il y a trois ans par le précédent président du PSG, Robin Leproux (2009-2011), en réaction à de nombreux débordements? Ou bien les violences étaient-elles l'oeuvre de "casseurs"?
Le président François Hollande a estimé mercredi en Conseil des ministres que les casseurs étaient les "premiers responsables des débordements" au Trocadéro qui ont gâché la fête du PSG, a rapporté la porte-parole du gouvernement Najat Vallaud-Belkacem.
"Le président de la République a rappelé que les premiers responsables des débordements de lundi soir ce sont les casseurs eux-mêmes" et qu'"il ne faut pas se tromper de responsabilité", a indiqué Mme Vallaud-Belkacem.