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Avec ce quatrième sacre à Melbourne, son sixième en Grand Chelem, le n°1 mondial égale Roger Federer et Andre Agassi qui s’étaient également imposés à quatre reprises en Australie mais sans jamais réussir le triplé.
Deux champions australiens y étaient bien arrivés, Jack Crawford dans les années 1930 et Roy Emerson dans les années 1960. Mais c’était avant le début de l’ère professionnelle en 1968 à une période où le tennis n’était pas encore cet univers ultra concurrentiel et mondialisé d’aujourd’hui.
Avoir réussi la passe de trois en plein âge d’or avec des champions comme Roger Federer ou Rafael Nadal, forfait cette année, est un sacré exploit et c’est ce qu’on retiendra d’abord de cette édition, plus qu’une finale parfois robotique entre deux joueurs au style de jeu si (trop?) proche.
Vainqueur 6-7, 7-6, 6-3, 6-2 en 3 h 40, Djokovic a gagné d’abord parce qu’il a remporté le défi physique face à Murray qui a mieux commencé avant de plier, usé par son combat contre Federer en demie et gêné par des ampoules au pied.