-
Tenue de l’assemblée générale de la Peňa Madridista de Casablanca
-
Coupe du monde de Wingfoil Dakhla 2024: L'Espagnole Elena Moreno sacrée
-
Walid Regragui : La régularité et le travail sont les principaux critères de sélection en équipe nationale
-
Botola : Le huis clos à l’affiche
-
Medhi Benatia lourdement sanctionné
"Je n'ai jamais autant transpiré qu'ici, c'est incroyable. Je dois prendre au moins dix tee-shirts par match ! Et au bout de deux jeux, je suis trempé", a décrit l'ex-N.1 mondial en conférence de presse après sa qualification pour le dernier carré aux dépens de l'Australien John Millman (55e) en trois sets (6-3, 6-4, 6-4).
"De jour comme de nuit, il n'y a pas d'air du tout en bas (sur le court, ndlr). On se croirait dans un sauna !", a-t-il décrit.
"Je pense que le tournoi doit s'occuper de cette question", a estimé le Serbe.
"Bien sûr, c'est fantastique d'avoir un toit. La pluie n'interrompt pas les matchs. Mais avec tous les abandons qu'il y a eu au premier tour, et tous les joueurs qui ont du mal à respirer, en particulier sur le court Arthur-Ashe où l'air ne circule pas du tout, je pense que c'est quelque chose à quoi il faut réfléchir, qu'il faut prendre en considération et dont il faut s'occuper", a-t-il développé.
Au premier tour, une touffeur suffocante avait contraint plusieurs joueurs à abandonner.
Lundi, c'est Roger Federer qui avait été affaibli par cette humidité étouffante en huitièmes de finale.
Puis mercredi, au cours du match entre Djokovic et Millman, l'humidité était si envahissante - d'un taux supérieur à 75% - qu'à 2-2 dans le deuxième set, alors qu'il n'y avait pas de changement de côté, l'Australien, imbibé de la casquette aux baskets, a quitté le court quelques instants pour se changer de la tête aux pieds.
Un point prévu par le règlement de l'ITF, pour "équipement devenu inadapté", a précisé le tournoi dans un communiqué.