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Ce sont là autant de questions, serait-on tenté de dire salutaires, pour que le premier parti socialiste reconquière la place qui lui revient de par sa longue histoire de militance et de parti capable de jouer, aujourd’hui et demain, les premiers rôles dans l’arithmétique partisane et politique nationale.
En introduction à sa plateforme de débat, l’USFP procède par une piqûre de rappel sur le sens et les enjeux de sa participation à la reconstruction politique du pays, du lancement du « processus démocratique » à l’expérience des élections de 2002 et ce retour sur la méthodologie démocratique, en passant par l’installation de l’alternance consensuelle. « Fort de son héritage de militantisme et du soutien populaire dont il jouissait, de son enracinement dans les quartiers et dans les différents quartiers, du prestige dont il bénéficiait au sein des organisations syndicales, des ONG de défense des droits de l’Homme, des associations des jeunes (…), l’USFP ne pouvait pas s’empêcher de mettre son poids au service des grandes réformes politiques et des transformations sociales envisagées alors par le pays», précise le parti, en explication sur le pourquoi de sa décision de quitter l’opposition pour assumer sa responsabilité dans le sauvetage d’un pays qui était « au bord de la crise cardiaque».