Le Wydad de Casablanca est parvenu, samedi au Complexe sportif Mohammed V, à baliser son chemin pour la finale de la sixième édition de la Ligue arabe des clubs champions, épreuve dont la dotation globale dépasse les vingt millions de dollars.
Les Rouges ont surclassé avec l’art et la manière la formation tunisienne du CS.Sfaxien, scellant le sort de cette explication, à cent pour cent maghrébine, sur le score de deux buts à zéro, grâce aux réalisations des buteurs maison, le réserviste Hicham Jouiâ et le titulaire Mustapha Bidoudane. A l’aller, les Casablancais avaient forcé au stade Taeb Mehiri une précieuse issue de parité, un but partout, résultat qui leur a permis d’aborder la deuxième manche à domicile dans de bonnes dispositions. En accédant à la finale, les représentants du football national dans ce concours, après l’élimination du Raja, par ce même CS.Sfaxien, et du Hassania d’Agadir, auront à croiser le fer avec le vainqueur de la rencontre qui a eu lieu hier à Tunis entre l’Espérance et les Algériens de l’Entente de Sétif, tenant du titre.
Il faut dire que ce n’était pas gagné d’avance pour le Wydad face à un adversaire qui a la réputation d’une équipe qui voyage bien. D’ailleurs, les Sfaxiens ont eu souvent plus de cote en dehors de leur base qu’à la maison, et ils s’étaient rendus à la Métropole, pourvus de l’intention de renverser la tendance. Dès l’entame de la partie, ils n’ont pas eu besoin du round d’observation pour annoncer la couleur, portant le danger à maintes reprises dans le camp wydadi. Recroquevillés en défense, les partenaires de Hicham Louissi risquaient gros et jouaient avec le feu. Il a fallu attendre une demi-heure de jeu pour que le coach Badou Zaki revoie ses cartes, en sortant Hamada El Alami et en intégrant Hicham Jouiâ. Un changement judicieux, puisque le groupe a pu retrouver son équilibre, faisant jeu égal avec des Sfaxiens moins dangereux qu’en début de match.
En seconde période, la donne a changé. Et c’est un Wydad aussi fringant qu’efficace auquel l’on a eu droit au grand bonheur du public des Rouges qui a dessiné de si belles fresques sur les gradins, tout en ne manquant point de donner de la voix. Et en laissant surtout dans les caisses du club un joli butin net de 350.000 dirhams, alors qu’une coquette somme de 450.000 dhs, provenant également de la recette de la billetterie, a été versée dans le compte de l’UAFA, en contrepartie, d’une part, de l’achat des droits de la commercialisation de la rencontre, et d’autre part, de l’amende infligée au WAC, contraint à avancer l’horaire du match faute d’éclairage dans le stade.
Les Tunisiens, ayant beaucoup donné lors de la première mi-temps, ont abordé ce half sur les rotules. Contrairement à des Wydadis qui ont su garder intelligemment leur fraîcheur, annonçant la couleur grâce à une parfaite maîtrise du milieu de terrain. Mieux appliqués et mieux en jambe, les protégés de Badou Zaki se sont montrés supérieurs, brûlant la politesse en deux temps à l’arrière-garde sfaxienne. Deux buts inscrits suite à des actions savamment construites, avec à la conclusion l’intenable Jouiâ et l’inévitable Bidoudane.
Une belle victoire des Rouges qui se qualifient pour la deuxième saison d’affilée à cet ultime acte de cette Ligue arabe des champions. Si l’année dernière, le WAC a été un finaliste malheureux, pour l’édition 2009, le club est décidé à chasser le signe indien et de garnir son copieux palmarès par un titre arabe qui vaut un million de dollars.
Les Rouges ont surclassé avec l’art et la manière la formation tunisienne du CS.Sfaxien, scellant le sort de cette explication, à cent pour cent maghrébine, sur le score de deux buts à zéro, grâce aux réalisations des buteurs maison, le réserviste Hicham Jouiâ et le titulaire Mustapha Bidoudane. A l’aller, les Casablancais avaient forcé au stade Taeb Mehiri une précieuse issue de parité, un but partout, résultat qui leur a permis d’aborder la deuxième manche à domicile dans de bonnes dispositions. En accédant à la finale, les représentants du football national dans ce concours, après l’élimination du Raja, par ce même CS.Sfaxien, et du Hassania d’Agadir, auront à croiser le fer avec le vainqueur de la rencontre qui a eu lieu hier à Tunis entre l’Espérance et les Algériens de l’Entente de Sétif, tenant du titre.
Il faut dire que ce n’était pas gagné d’avance pour le Wydad face à un adversaire qui a la réputation d’une équipe qui voyage bien. D’ailleurs, les Sfaxiens ont eu souvent plus de cote en dehors de leur base qu’à la maison, et ils s’étaient rendus à la Métropole, pourvus de l’intention de renverser la tendance. Dès l’entame de la partie, ils n’ont pas eu besoin du round d’observation pour annoncer la couleur, portant le danger à maintes reprises dans le camp wydadi. Recroquevillés en défense, les partenaires de Hicham Louissi risquaient gros et jouaient avec le feu. Il a fallu attendre une demi-heure de jeu pour que le coach Badou Zaki revoie ses cartes, en sortant Hamada El Alami et en intégrant Hicham Jouiâ. Un changement judicieux, puisque le groupe a pu retrouver son équilibre, faisant jeu égal avec des Sfaxiens moins dangereux qu’en début de match.
En seconde période, la donne a changé. Et c’est un Wydad aussi fringant qu’efficace auquel l’on a eu droit au grand bonheur du public des Rouges qui a dessiné de si belles fresques sur les gradins, tout en ne manquant point de donner de la voix. Et en laissant surtout dans les caisses du club un joli butin net de 350.000 dirhams, alors qu’une coquette somme de 450.000 dhs, provenant également de la recette de la billetterie, a été versée dans le compte de l’UAFA, en contrepartie, d’une part, de l’achat des droits de la commercialisation de la rencontre, et d’autre part, de l’amende infligée au WAC, contraint à avancer l’horaire du match faute d’éclairage dans le stade.
Les Tunisiens, ayant beaucoup donné lors de la première mi-temps, ont abordé ce half sur les rotules. Contrairement à des Wydadis qui ont su garder intelligemment leur fraîcheur, annonçant la couleur grâce à une parfaite maîtrise du milieu de terrain. Mieux appliqués et mieux en jambe, les protégés de Badou Zaki se sont montrés supérieurs, brûlant la politesse en deux temps à l’arrière-garde sfaxienne. Deux buts inscrits suite à des actions savamment construites, avec à la conclusion l’intenable Jouiâ et l’inévitable Bidoudane.
Une belle victoire des Rouges qui se qualifient pour la deuxième saison d’affilée à cet ultime acte de cette Ligue arabe des champions. Si l’année dernière, le WAC a été un finaliste malheureux, pour l’édition 2009, le club est décidé à chasser le signe indien et de garnir son copieux palmarès par un titre arabe qui vaut un million de dollars.
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