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Isolées dans une petite salle au fond d’un couloir dans une aile désaffectée, deux femmes présentées comme étant des ''militantes'' sahraouies, se sont livrées devant un auditoire constitué d'une poignée de sympathisants de la thèse séparatiste (une vingtaine au total), à un monologue sur de prétendues "souffrances des populations" et "exactions" en matière des droits de l’Homme au Sahara.
Lors de cette rencontre, parrainée par la députée espagnole Paloma López Bermejo du groupe de la gauche radicale connue, du reste, pour sa haine viscérale contre le Maroc, les activistes du Polisario ont, comme à l'accoutumée, versé dans l’invective anti-marocaine, en proférant leur discours accusateur du Royaume.
Ce manège ridicule a duré une petite heure à défaut d’intervenants sérieux, de faits avérés et d’arguments solides.
En dépit de la grossièreté de leur entreprise, à l'inanité manifeste, les organisateurs se sont permis, sans vergogne, d’inviter les intervenantes, à une conférence de presse dans une salle du Parlement européen dédiée à cet effet. Cette fois-ci le spectacle était affligeant : aucun journaliste.
Après quelques palabres anti-marocains et des élucubrations autour de soi-disant violations des droits de l’Homme au Sahara, débités en espagnol dans la précipitation, l’organisatrice de ce fiasco, qui n’est autre que la députée espagnole Paloma Lopez, a levé la séance en prétextant qu’ils devaient libérer la salle.
Plus grotesque encore, non loin de là, les deux femmes «militantes sahraouies» se sont données en spectacle en s’échangeant à haute voix des jérémiades et des récriminations au sujet de "frais de déplacement" que l’une ou l’autre devait recevoir. L’affaire tournait autour de quelques centaines d’euros et de remboursement de billets d’avion, qui n'ont visiblement pas été encaissés. Les deux femmes ont d’ailleurs été immédiatement rappelées à l'ordre par un des leurs qui semblait être leur rabatteur. A ce simulacre de conférence s’ajoutent une multitude d’autres déconvenues essuyées sur la scène internationale par le mouvement séparatiste dont la propagande gratuite est désormais connue de tous et n’intéresse plus personne. Que de rencontres ont, en effet, été boudées particulièrement dans les capitales occidentales, au grand dam des propagandistes polisariens. C'est dire que leurs thèses fallacieuses n'intéressent guère dans le contexte actuel que traverse la question du Sahara, lequel est particulièrement marqué par le soutien à la proposition marocaine d'autonomie de la part de la communauté internationale et par le tournant majeur que connaît la politique étrangère du Royaume, sous l’impulsion de S.M le Roi Mohammed VI.
Cette dynamique internationale est également appuyée par la vague, sans précédent, de retraits de reconnaissance de la pseudo-Rasd de la part de plusieurs pays à travers le monde, convaincus qu'ils sont du caractère artificiel d'une telle entité. Le dernier retrait en date a été celui de la Jamaïque la semaine dernière. Force est de souligner également l’élan d'adhésion et le dynamisme créé au fil du temps par les initiatives et les projets de développement portés par la stratégie visionnaire du Souverain et l’ambition Royale pour un Maroc fort et uni, moderne, intégré et prospère.