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La rencontre qui s'inscrit dans le cadre du programme MIEUX (Expertise migration de l'Union européenne), financé par l'Union européenne, devait réunir des experts d'Italie, du Portugal, de Belgique et des représentants de tous les acteurs concernés par la lutte contre le fléau de la traite au Maroc, avec l'objectif de contribuer au renforcement des connaissances des représentants des départements gouvernementaux, des institutions nationales et de la société civile, et de s'inspirer de certaines pratiques et expériences européennes en la matière.
Depuis la signature le 7 juin 2013 de la déclaration politique conjointe sur le «Partenariat pour la mobilité» entre le Royaume du Maroc et l'Union européenne (UE), les deux partenaires se sont engagés à renforcer leur coopération sur tous les sujets ayant trait à la mobilité des personnes des deux côtés de la Méditerranée, précise le communiqué.
Ce partenariat permet à l'UE et au Maroc d'entamer une coopération structurelle dans le domaine de la migration et propose une vision novatrice de la gestion des flux migratoires, en gardant un équilibre entre les mesures visant à favoriser les migrations légales, celles permettant d'améliorer les retombées positives de la migration pour le développement, et enfin celles autorisant la protection des droits des migrants et une lutte effective contre les réseaux criminels qui se rendent coupables de trafic de migrants et de traite des êtres humains.
Le programme MIEUX, financé par l'UE et mis en œuvre par ICMPD, va permettre aux autorités marocaines de pouvoir bénéficier de l'expérience de fonctionnaires d'Etat de l'UE et de bonnes pratiques, tout en renforçant leur système d'identification et de protection des victimes de traite.