-
Le Maroc invité d'honneur de la 18e édition du prix Al Burda à Abou Dhabi
-
SAR la Princesse Lalla Hasnaa et S.E. Sheikha Sara Bint Hamad Al-Thani président à Doha le "Tbourida Show"
-
Des chercheurs se penchent sur les défis de la langue arabe à l'ère du numérique et de l'IA
-
Au SILEJ, la SNRT relaie ses émissions de débat politique auprès des jeunes
L’Institut Cervantès de Casablanca organise le cycle du Cinéma “Mercredi Cinéma”. Ce cycle nous permettra de découvrir sinon redécouvrir le 7 ème art espagnol empreint de flegme. Ce cycle prévoit chaque mercredi, durant toute l’année, un film en espagnol sous-titré en français,
Le premier film, « Un franc, quatorze pesetas» du réalisateur espagnol Carlos Iglesias, raconte l’histoire de l’immigration espagnole durant les années soixante. Martín et Marcos, deux amis, décident d’immigrer en Suisse à la recherche du travail et d’une vie meilleure. Ils laissent leurs familles en Espagne et entreprennent le voyage vers une nouvelle vie en Europe du progrès et des libertés. Le Film sera projeté le mercredi, 14 janvier, au Théâtre de l'Institut Cervantès à 19h.
Le Film « La vida perra de Juanita Narboni » (La vie de Chien de Juanita Narboni) de Farida Benlyazid est programmé pour le mercredi, 21 janvier auThéâtre de l'Institut Cervantes à 19 heures. « La vie de chien de Juanita Narboni » interprétée par : Mariola Fuentes, Salima BenMoumen, Lou Doillon, Chete Lera, Mariana Corsero, Concha Cuetos, Nabila Baraka, Francisco Algora, Victoria Mora, Rosario Pardo, Amal El Atrache raconte l'histoire d'une femme dont la personnalité est identifiée avec une ville portuaire, cosmopolite, contradictoire, et à la fois exotique: Tanger. Comme rideau de fond, les événements historiques qui marquent l’époque: le franquisme, la seconde guerre mondiale, l'indépendance du Maroc. Juanita raconte ses préoccupations, ses désirs, sa culpabilité et la vie corsetée de la Communauté européenne dans la ville. Elle tourne le dos à la réalité qui l'entoure et plonge dans son propre délire de femme seule et désespérée.
Ce cycle sera clôturé par la projection, le Mercredi 28 janvier, au Théâtre de l'Institut Cervantès à 19h, du film Azul Oscuro Casi Negro (Bleu Obscur quasi noir) du réalisateur espagnol Daniel Sánchez Arévalo.
« Azul Oscuro Casi Negro » est un état d'esprit, un futur incertain, une couleur qui change, en fonction du prisme à partir duquel on regarde. Jorge a hérité le travail de son père après que celui-ci souffrirait d’un infarctus cérébral. Toutefois, il lutte contre un destin qui paraît inévitable. Durant les dernières années, il s'est efforcé pour faire son travail, veiller sur son père et étudier une carrière. Maintenant son ambition est de trouver un autre travail. Par le biais de son frère Antonio, il fait la connaissance de Paula, avec laquelle il entamera une relation étrange qu'elle lui propulsera à cesser de sentir responsable de tout et de faire face à ses désirs, en palliant ce que les autres attendent de lui. Le film a obtenu trois Prix Goya et le Prix de la Critique.