Il donne bien l’impression d’y croire dur comme fer. Et c’est tant mieux pour la jeunesse marocaine et pour ce sport tout aussi marocain. En tout cas, ce beau prétexte qui consistait au manque de moyens et qui a trop servi à justifier moult échecs de plus d’une discipline, devrait désormais appartenir au passé. Le ministre Belkhayat n’aurait pas que des idées, mais aussi le pécule qui doit aller avec. « L’argent est là », a-t-il pour habitude de dire depuis qu’il a pris les rênes du département le plus exposé.
Force est de constater que pour ce contrat-programme concernant la petite balle jaune, c’était prêt et finalisé depuis belle lurette, bien avant l’avènement du tout nouveau bureau fédéral.
Le gouvernement Jettou s’apprêtait à signer quand il a changé de tête. Autant dire que les actuels doivent un minimum de reconnaissance aux anciens. La fédé du président Fayçal Laaraïchi aurait pu avoir l’élégance d’inviter à cette cérémonie de signature, ne serait-ce que le président Mohamed Mjid qui, avec d’autres dirigeants passionnés de tennis, a tant fait pour que ce sport occupe le devant de la scène et que ce contrat-programme voie le jour.
Dommage. Mais l’essentiel est que ce sport aille de l’avant. Le contrat entre le ministère et la FRMT porte sur 4 ans, mais cette dernière veut bien s’accorder plus de temps en se projetant sur 2020. Avec comme objectifs déclarés : le premier plan au niveau continental et arabe. Ce qu’on a toujours été, sans que ce soit fait pour flatter exagérément notre ego. Et également, retrouver sa place au Groupe mondial de la Coupe Davis. C’est tout le mal que l’on souhaiterait au tennis national, bien qu’il y ait des chantiers plus importants à explorer.
Et C’est par amour pour ce sport qui, contrairement à bien d’autres, continue d’honorer le pays que l’on appréhende quelques ratages.
Le bureau fédéral actuel comprend quelques potentialités intègres et responsables, mais ce serait un crime que de les voir réduits au rôle de figurants, pour laisser un D.T.N gérer « la chose » à sa guise.
Celui-ci compte apparemment atteindre ces grands objectifs, tout en continuant à se sucrer aux dépens de pas moins de trois « académies » privées. C’est pour le moins incompatible. Et même qu’il est allé chercher « un second » du côté de ces mêmes académies. Le très sympathique Fabrice, un adorable ressortissant camerounais s’y connaît certes comme préparateur physique, mais il faut qu’il soit un superman, ou un Afif, pour s’acquitter convenablement de la mission que la fédé compte lui confier. Plutôt que son pote lui a déjà confiée.
Force est de constater que pour ce contrat-programme concernant la petite balle jaune, c’était prêt et finalisé depuis belle lurette, bien avant l’avènement du tout nouveau bureau fédéral.
Le gouvernement Jettou s’apprêtait à signer quand il a changé de tête. Autant dire que les actuels doivent un minimum de reconnaissance aux anciens. La fédé du président Fayçal Laaraïchi aurait pu avoir l’élégance d’inviter à cette cérémonie de signature, ne serait-ce que le président Mohamed Mjid qui, avec d’autres dirigeants passionnés de tennis, a tant fait pour que ce sport occupe le devant de la scène et que ce contrat-programme voie le jour.
Dommage. Mais l’essentiel est que ce sport aille de l’avant. Le contrat entre le ministère et la FRMT porte sur 4 ans, mais cette dernière veut bien s’accorder plus de temps en se projetant sur 2020. Avec comme objectifs déclarés : le premier plan au niveau continental et arabe. Ce qu’on a toujours été, sans que ce soit fait pour flatter exagérément notre ego. Et également, retrouver sa place au Groupe mondial de la Coupe Davis. C’est tout le mal que l’on souhaiterait au tennis national, bien qu’il y ait des chantiers plus importants à explorer.
Et C’est par amour pour ce sport qui, contrairement à bien d’autres, continue d’honorer le pays que l’on appréhende quelques ratages.
Le bureau fédéral actuel comprend quelques potentialités intègres et responsables, mais ce serait un crime que de les voir réduits au rôle de figurants, pour laisser un D.T.N gérer « la chose » à sa guise.
Celui-ci compte apparemment atteindre ces grands objectifs, tout en continuant à se sucrer aux dépens de pas moins de trois « académies » privées. C’est pour le moins incompatible. Et même qu’il est allé chercher « un second » du côté de ces mêmes académies. Le très sympathique Fabrice, un adorable ressortissant camerounais s’y connaît certes comme préparateur physique, mais il faut qu’il soit un superman, ou un Afif, pour s’acquitter convenablement de la mission que la fédé compte lui confier. Plutôt que son pote lui a déjà confiée.
Tirage au sort de la CAN Maroc-2025
