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Cette réunion entre dans le cadre de la préparation de son dixième congrès national.
On a procédé à l’examen des réalisations de l’association durant l’année 2011 et la conjoncture qui les a accompagnées, notamment le Printemps arabe et les réformes constitutionnelles ainsi que les élections du 25 novembre. En plus de la nomination du nouveau gouvernement.
Ces discussions ont porté principalement sur la participation active de l’association en tant qu’acteur civil dans toutes ces étapes. Tout en soulignant son autonomie et sa participation aux côtés des différents acteurs, à l’instauration des bases de l’Etat de droit ainsi qu’à la concrétisation des dispositions de la nouvelle Constitution.
Après avoir établi son bilan et déterminer les attentes des étapes actuelle et prochaine, les participants à cette session ont exprimé leur satisfaction quant aux initiatives prises aux niveaux local, régional et national.
Ils ont également exprimé leur déception concernant le report des stages de la cession d’hiver et la décision imprévue du ministère de la Jeunesse et des Sports qui pose la problématique de la bonne gouvernance en ce qui concerne la gestion des services publics.
Ils ont appelé le nouveau gouvernement à répondre favorablement aux attentes du corps associatif en général.
L’Association a précisé qu’elle est prête à participer à l’élaboration des différentes politiques publiques concernant l’enfance et la jeunesse et à suggérer des propositions dans le cadre de la démocratie participative en harmonie avec les dispositions de la nouvelle Constitution.
A l’issue de cette session, les membres de l’association ont demandé au gouvernement de veiller sur la concrétisation démocratique du contenu de la nouvelle Constitution et à assurer l’accès des jeunes et des enfants à l’information et aux nouvelles technologies.
L’association a également appelé le gouvernement à donner la priorité à la question de «l’école publique» comme introduction à une société moderne et démocratique.
Par ailleurs, cette session a insisté sur la nécessité d’installer les outils institutionnels nécessaires à l’activation de l’approche participative afin de réaliser les objectifs cités dans les articles 32, 33, 169 et 170 de la Constitution tout en rappelant son soutien au Mouvement du 20 février.