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Dans un communiqué, en réponse à des articles de presse publiés le week-end dernier et faisant état de dysfonctionnements en termes de spécialités requises et de répartition du nombre de postes selon les grades et de réussite de personnes n’ayant pas participé au concours, le ministère a expliqué que les grades, les spécialités et la répartition des postes entre les départements concernés sont fixés à partir de données relatives aux personnes en situation de handicap titulaires de diplômes supérieurs, tout en tenant compte des besoins de l'administration en termes de spécialités. Concernant la répartition sur les centres de concours, la même source affirme que les candidats n’ont pas été répartis en fonction de leur numéro de dossier, mais plutôt en fonction de leur niveau de grade, de leur spécialisation, de leur handicap et des procédures et modalités de simplification prévues à leur demande, afin de leur permettre de passer le concours dans les meilleures conditions.
En outre, certains candidats ont exprimé, le jour du concours, leur souhait de bénéficier d’un accompagnateur, une requête qu'ils n'ont pas, pourtant, exprimée dans les formulaires prévus à cet effet au moment du dépôt de leur candidature, note le communiqué, ajoutant que le comité d'organisation a dû, de ce fait, changer les places de certains candidats, pour satisfaire ces demandes et éviter de déranger les autres candidats. Ainsi, les places numérotées de ces candidats sont restées vides, sachant que les comités d'organisation disposent des signatures de l'ensemble des postulants, précise-t-on.
Le ministère a, d’autre part, affirmé que les candidats ayant passé ce concours ont présenté des certificats médicaux attestant de leur état de santé délivrés par des commissions médicales compétentes, soulignant que ces épreuves ont été supervisées par un comité regroupant des experts et spécialistes dans le domaine du handicap, créé sur arrêté du chef du gouvernement.