-
Emission conjointe de deux timbres-poste célébrant les relations historiques entre le Maroc et le Portugal
-
Interpellation à Tanger d’un ressortissant portugais faisant l’objet d’une notice rouge d’Interpol
-
Mimoun Azzouz, une compétence marocaine au service de la thérapie génique au Royaume-Uni
-
Un Marocain primé au Salon international des inventions d'Adana
-
Les produits du terroir marocains, vedettes des "Rencontres de la diplomatie culinaire France-Maroc"
Il y va de soi, que débats et autres interventions tournaient autour de l’aptitude à affronter le stress intense des changements climatiques et l’eau, sous différentes formes, ainsi que sa gouvernance et gestion, on l’imagine, était l’élément en couleur dudit colloque.
Aussi était-il normal d’y voir la représentation de nombreux responsables ou ex-responsables de parties prenantes telles que l’Institut international pour l’eau et l’assainissement la Lydec, l’ONEE, le ministère de l’Intérieur en plus de diverses autres composantes.
Dans ce cadre et entre autres éminences du panel ayant pris part aux nombreuses tables rondes et débats, on a vu intervenir Rachid Afirat, qui en sa qualité de gouverneur, représentant le ministère de l’Intérieur, s’est exprimé sur les risques de catastrophes naturelles et le programme de gestion intégrée en mettant en avant les actions entreprises en ce sens.
Abdelghani Chehbouni (IRD) a, quant à lui, mis l’accent sur les mesures d’atténuation de la réduction des émissions de gaz et celles d’adaptation à ce phénomène des temps nouveaux, n’en déplaise aux adeptes des périodes géologiques de la Terre et de ses phases paléo-climatiques, froides ou autres.
Mais les intervenants, tour à tour, ont pris la parole ayant chacun un thème ou une spécialité, ont développé leurs arguments quant au sujet. C’est ainsi qu’ont défilé en bons tribuns pour ainsi dire Abdelaziz Adidi, directeur de l’Institut national d’aménagement et d’urbanisme (INAU), Samir Bensaid, directeur de l’Institut international de l’eau et de l’assainissement (ONEE Branche Eau), le directeur de l’Ecole de gouvernance et d’économie de Rabat (EGE) Mohamed Tozy, Driss Benhima ex-PDG RAM, wali du Grand Casablanca, directeur (APDN) et directeur général de l’ONE invité à titre de consultant, Jean Pascal Darriet, directeur général de LYDEC et bien d’autres éminences encore, qui voudraient bien nous pardonner d’avoir involontairement occulté leurs noms et dont ni la qualité ni la personne ne sont à démontrer. Ce beau monde avait comme modérateur général, Ali Bouabid qui, de son impertinence légendaire, a conduit, si l’on peut dire, magistralement les débats.
Non! Ce colloque ‘‘La gouvernance de l’offre des services en eau potable, assainissement liquide et pluvial face aux changements climatiques : une problématique majeure’’, à l’EGE de Rabat en cette journée de mercredi, aura été riche en enseignements et recommandations et surtout d’un très haut niveau. Des conférences du genre on ne peut être que demandeurs et preneurs.