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Les travaux de cette rencontre ont été ouverts par des allocutions de bienvenue prononcées par la présidente de la Ligue des écrivaines du Maroc, la romancière et femme de théâtre, Badiaâ Erradi et le directeur de l’Institut supérieur des professions de l’audiovisuel et du cinéma, la chercheur et expert de la sémiologie du cinéma et de la télévision, Abderrazak Ezzaher, soulignant le rôle de la femme intellectuelle et écrivaine dans l’édification et le développement de la société et abordant les perspectives de coopération entre le Ligue et l’Institut.
Le colloque a été marqué par la participation de Rania Zoubeiri, professeure-chercheuse, présidente de la commission de la médiation culturelle et membre du Bureau exécutif de la Ligue des écrivaines du Maroc, Mounia Allali, écrivaine et coordinatrice du master international : « Religion, politique et communauté internationale » et présidente de la section d’Italie de la Ligue des écrivaines du Maroc, Fatima-Azzahrae Sersari, professeure et médiatrice culturelle des arts, Atika Hachemi, professeure, critique et présidente du Réseau de lecture-section de Rabat et Zahra Aâz, romancière et membre du Bureau exécutif de la Ligue des écrivaines du Maroc.
Par ailleurs, a pris part auxdits travaux, une pléiade d’intellectuels, de professionnels et d’acteurs de presse, dont Abdellatif Bensfia, directeur de l’Institut supérieur de la presse et de la communication, chercheur expert en communication et spécialiste des questions du genre et co-auteur de la charte nationale de l’amélioration de la place de la femme dans le monde de la presse et également le professeur-chercheur Abdelfattah Ezzine, président de l’espace de médiation et coordonnateur national du Réseau marocain de la sociologie.
De même que les membres du Bureau exécutif de la Ligue et une assistance de qualité, composée de journalistes et d’observateurs avertis ont enrichi le débat autour de la finalité de l’écriture féminine et son interaction avec les différents arts. Les discussions ont, par ailleurs, abordé la problématique de l’absence du produit de l’écrivaine marocaine en général et africaine en particulier dans le livre scolaire et la persistance de la véhiculation de stéréotypes portant atteinte à la femme…
Le colloque a conclu ses travaux en émettant nombre de recommandations qui seront soumises ultérieurement aux parties compétentes