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"La seule chose que je puisse dire, c'est que de tels rapports sont les bienvenus, souvent ce sont des lectures qui mettent mal à l'aise, mais j'aimerais plutôt lire ce genre d'observations", a-t-il expliqué depuis le Qatar.
Dans un rapport publié jeudi, les experts de l'AMA ont pointé du doigt de "sérieux manquements logistiques" qui ont affecté les contrôles antidopage à Rio en août, exposant notamment les cas de sportifs attendus "qui n'ont pas pu être trouvés" pour le test.
Ils ont également souligné le manque de personnel correctement formé, notamment celui censé guider les sportifs à travers la procédure et prélever des échantillons.
Bien qu'il n'ait pas encore lu le rapport lui-même, le Britannique, double champion olympique du 1500 m, a estimé que de tels "renseignements" étaient importants pour attraper les tricheurs à l'avenir.
Coe pousse en ce sens en faveur de la création d'une entité indépendante de lutte antidopage dans l'athlétisme, alors que ce sont actuellement les fédérations nationales qui en ont la responsabilité.
"Le test en lui-même est indépendant, a développé Coe. Là où on a péché, c'est au niveau de la gestion des résultats. Des intérêts nationaux ont trop souvent interféré".
L'IAAF a notamment suspendu la Fédération russe, empêtrée dans un scandale de dopage d'Etat révélé par un rapport de l'AMA, en novembre 2015, privant 67 des 68 athlètes du pays des Jeux de Rio, une décision confirmée par le Tribunal arbitral de Lausanne (TAS).