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Par ailleurs, Kamal Daissaoui, quinquagénaire dynamique, est très impliqué dans la vie associative et syndicale (vice-président de l’Association du transport au sein de la CGEM, vice-président du transport international AMTRI, trésorier de l’association socialiste des conseillers et conseillères, etc). Quant à son parcours politique, il a occupé plusieurs postes dans les différentes sections et autres secrétariats depuis son adhésion au parti en 1975. Actuellement, cet ancien membre du Conseil national de l’USFP est premier adjoint du secrétaire régional du Grand Casablanca et ce depuis le Conseil constitutif de la région en 2006.
Aussi paradoxal que cela puisse paraître, ce père de trois enfants fait une campagne électorale bien particulière au vu de son parcours. En effet, il a négligé volontairement les outils des nouvelles technologies (Internet, médias et autres aboutissants) pour la mener à bien à travers le contact direct. Il privilégie l’échange avec le citoyen, qu’il estime d’ailleurs très fructueux. En effet, à travers cette présence sur le terrain, Kamal Daissaoui en plus de deviner qu’il dispose d’un incontestable prestige pour son coup d’essai, y découvre en parallèle une véritable prise de conscience de la part du citoyen.
Aujourd’hui, l’électeur, devenu plus exigeant avec le temps et les déceptions, recherche la compétence et la crédibilité. Des qualités que notre monsieur touche-à-tout n’a pas à signifier, son appréhension est plutôt tournée du côté d’une participation massive qui ferait défaut. Telle qu’attendue, elle renforcerait nos institutions qui, par ces temps difficiles, pourraient faire évoluer les choses dans le sens positif, selon Kamal Daissaoui.