Une fois de plus, serait-on tenté d’écrire, l’inconscience à travers des actes de violence de certains énergumènes ont ravi la vedette au spectacle et au fair-play sportif lors du derby entre le CODM et le MAS. Dix-sept supporters meknassis dont l’âge varie entre treize et vingt-quatre ans ont été blessés après qu'une partie du grillage du stade d'honneur de la capitale ismaïlienne ait cédé.
La cause prépondérante en serait la bousculade et les jets de pierres initiés par les supporters du MAS après que leur équipe a ouvert le score en deuxième mi-temps. Cela a conduit ensuite à une bagarre généralisée. L’intervention rapide des forces de l’ordre a heureusement minimisé les dégâts, les blessés, à l’exception d’un supporter au nez cassé, l’ont été superficiellement, selon les sources médicales des hôpitaux de la ville qui les ont, après les premiers soins nécessaires, autorisés à quitter les établissements hospitaliers.
Aussitôt la rencontre terminée, les hooligans fassis se sont acharnés sauvagement par des actes de violence en ville et plus particulièrement aux alentours du stade, sur les biens publics y causant moult dommages.
Ce n’est pas la première fois que les rencontres entre le CODM et le MAS, que ce soit à Meknès ou à Fès, se passent ainsi. En décembre 2011, l’arbitre de la rencontre, avait été poussé à arrêter le match au bout de l’heure une bagarre générale ayant éclaté. En 2012, ce sont les joueurs qui s’étaient donnés en un autre spectacle que celui sportif et des événements aussi fâcheux les uns que les autres sont légion entre les deux clubs dont la rivalité extra-sportive n’est plus à démontrer.
La cause prépondérante en serait la bousculade et les jets de pierres initiés par les supporters du MAS après que leur équipe a ouvert le score en deuxième mi-temps. Cela a conduit ensuite à une bagarre généralisée. L’intervention rapide des forces de l’ordre a heureusement minimisé les dégâts, les blessés, à l’exception d’un supporter au nez cassé, l’ont été superficiellement, selon les sources médicales des hôpitaux de la ville qui les ont, après les premiers soins nécessaires, autorisés à quitter les établissements hospitaliers.
Aussitôt la rencontre terminée, les hooligans fassis se sont acharnés sauvagement par des actes de violence en ville et plus particulièrement aux alentours du stade, sur les biens publics y causant moult dommages.
Ce n’est pas la première fois que les rencontres entre le CODM et le MAS, que ce soit à Meknès ou à Fès, se passent ainsi. En décembre 2011, l’arbitre de la rencontre, avait été poussé à arrêter le match au bout de l’heure une bagarre générale ayant éclaté. En 2012, ce sont les joueurs qui s’étaient donnés en un autre spectacle que celui sportif et des événements aussi fâcheux les uns que les autres sont légion entre les deux clubs dont la rivalité extra-sportive n’est plus à démontrer.
Du bronze servi dans un festival en or
