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Dans un éditorial intitulé: "Après les attentats en Espagne : comprendre et combattre la radicalisation", paru dans le bulletin de septembre de l'OEG, l'expert français a relevé que le rôle du Maroc dans la lutte contre le terrorisme et le maintien de la stabilité régionale est unanimement apprécié par les pays européens, rappelant en outre que de nombreux Etats africains envoient leurs imams se former dans le Royaume.
L'universitaire français a, à cet égard, appelé les pays intéressés (la France, l’Espagne, la Belgique, etc.) à coopérer avec le Maroc qui est le seul Etat musulman capable d’aider à la formation d’imams enseignant l’Islam du juste milieu et combattant la radicalisation, sur le modèle de l’Institut Mohammed VI de formation des imams de Rabat.
Il a, sur un autre registre, affirmé qu'il faut se féliciter de l’excellence de la coopération entre les services marocains, français et espagnols qui sont très professionnels et performants.
M. Saint-Prot a, d'autre part, relevé qu'après les attentats meurtriers (16 morts) commis en Espagne, le 17 août 2017, notamment à Barcelone où les terroristes ont foncé dans la foule à bord d’une camionnette, certains ont mis en exergue le fait que les terroristes étaient d’origine marocaine et que leur chef était un imam, faisant observer que l’erreur consisterait à généraliser à partir du cas de quelques activistes déviants qui ne représentent évidemment pas le peuple marocain.
"On ne peut jeter l’opprobre sur tout un peuple en raison des agissements de quelques-uns et il doit être clair qu’il n’existe aucun facteur national prédestinant tel ou tel ressortissant d’un pays ou tel ou tel adepte d’une religion à commettre des actes criminels", a-t-il insisté, notant qu'il faut rechercher ailleurs les causes de ces agissements.