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Dans un entretien accordé à RMC, Marouane Chamakh n’a pas dissimulé sa colère contre Arsène Wernger, déclarant que «c’est clair que je lui en veux un petit peu parce que je pense que je méritais un temps de jeu supérieur à ce qu’il m’avait donné et promis. L’année s’est écoulée et, en début de saison, il m’a dit qu’on allait peut-être changer notre schéma tactique et que j’allais peut-être débuter avec Robin ». Et de poursuivre: « Ce n’étaient que des promesses, il n’y a rien eu au bout. Cette année-là, Robin a tout explosé, il a été joueur de l’année. Je ne pouvais rien dire et je n’allais pas aller le voir (Arsène Wenger, ndlr) et lui dire que je devais jouer à sa place. Robin était beaucoup plus fort que moi ».
Si Chamakh reconnaît ses limites par rapport au Néerlandais Robin Van Persie, qui avait fait les beaux jours des Gunners, il n’en demeure pas moins qu’il aurait voulu bénéficier d’un autre traitement que celui que lui avait réservé Arsène Wenger. Pour l’attaquant marocain, l’attitude du manager d’Arsenal était « un petit peu un manque de respect. J’avais bien commencé et du jour au lendemain il m’éclipse comme ça... Il me demandait d’être patient, me disait que Robin n’allait pas enchaîner plus de dix matchs, qu'il allait se blesser, mais ça a duré toute une année. Il fallait à un moment donné que je prenne une décision et que je quitte le club».
Bien entendu, le joueur marocain a changé de club sans quitter les cieux londoniens pour débarquer à titre de prêt en premier lieu à West Ham United (2013) puis à Crystal Palace (2013-2016).
Il faut dire que Marouane Chamakh, 64 capes avec le Onze national et 18 buts à la clé, n’a pu rebondir et a éprouvé lors du dernier mercato estival, en dépit du fait d’être libre de tout contrat, toutes les peines du monde pour trouver un club preneur. Il a réussi à décrocher, in extremis, un point de chute à Cardiff City FC, formation de la D2 anglaise plus connue sous l’appellation de Championship.
A ce propos, il a affirmé à la radio française RMC que «j’étais libre en début de saison mais pas encore prêt parce que, suite à ma blessure, j’avais sept semaines de convalescence, plus le temps de reprendre et de faire une pré-saison, il m’a fallu un peu de temps. J’ai été apte fin septembre donc c’était difficile pour un club de me faire signer en juillet ou août. J’ai préféré attendre. J’ai eu des propositions du Moyen-Orient, de Chine, des Etats-Unis, mais j’ai préféré continuer l’aventure ici, même en Championship».
Pour l’ancien girondin, club avec lequel il s’était fait un nom sur la scène européenne, « en Angleterre, même à 32 ans, il n’y a pas ce cliché qu’on a en France où l'on dit qu’on n’avance plus. Je pense que j'ai encore deux ou trois années devant moi. Je voulais encore continuer en Angleterre car j’aime cet état d’esprit, cette culture, ce football. Ils sont encore un peu amoureux du football », a-t-il conclu.
Renard, approché par la Chine et courtisé par l’Algérie
Selon la même source toujours, Hervé Renard serait «sondé par l’entourage de la Fédération algérienne de football» après la démission du sélectionneur d’Algérie, le Serbe Milovan Rajevac.
Sauf qu’une dépêche sur le fil de l’APS indique que le président de l’instance fédérale algérienne, «Mohamed Raouraoua a évoqué mercredi la possibilité de voir le nouvel entraîneur de la sélection nationale qui succédera au Serbe Milovan Rajevac, sur le banc dès le prochain match contre le Nigeria le 12 novembre prochain à Uyo pour le compte de la deuxième journée des qualifications de la Coupe du monde 2018».
Pour rappel, le contrat de Hervé Renard avec la FRMF court jusqu’en juin 2019.