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“C’est une équipe quasiment impossible à battre, c’est l’équipe la plus forte du monde, elle le montre depuis quatre ou cinq ans, a avancé le technicien concernant son prochain adversaire. Ils auront sans doute plus de possession de balle, mais ce n’est pas non plus une équipe parfaite”.
“Nous devrons essayer de livrer un match équilibré jusqu’à la fin, a-t-il poursuivi. Nous devrons jouer sur notre fierté, et préparer quelque chose de différent. L’Espagne peut motiver d’un point de vue tactique, pousser à faire quelque chose d’innovant”. La Nazionale est de toute façon contrainte d’évoluer puisqu’elle sera privée de son avant-centre N.1, Mario Balotelli, forfait jusqu’à la fin du tournoi en raison d’une déchirure à la cuisse gauche occasionnée samedi contre la Seleçao (2-4).
“L’Espagne va beaucoup mieux (que l’Italie), vu la facilité avec laquelle elle est sortie de son groupe, a jugé Prandelli. Elle a une identité de jeu bien précise, elle est favorite, sans aucun doute. Mais je suis convaincu que nous pourrons les mettre en difficulté”.
Quel que soit le résultat, “je suis convaincu que cette expérience sera utile, a aussi affirmé le sélectionneur. De nombreux joueurs ont fait un grand pas en avant, sur le plan du tempérament et du professionnalisme. Jouer comme elle l’a fait en deuxième mi-temps contre le Brésil, et au Brésil, ce n’est pas une chose facile”.