-
Tenue de l’assemblée générale de la Peňa Madridista de Casablanca
-
Coupe du monde de Wingfoil Dakhla 2024: L'Espagnole Elena Moreno sacrée
-
Walid Regragui : La régularité et le travail sont les principaux critères de sélection en équipe nationale
-
Botola : Le huis clos à l’affiche
-
Medhi Benatia lourdement sanctionné
Il ne serait pas inutile de rappeler qu’avec l’organisation du présent Championnat du monde, le gotha mondial du sambo se trouve réuni pour la première fois sur terre africaine. «Cela a été fait en toute logique, tient à rappeler Vassili Chestakov, président de la FIAS ; le Maroc est le tout premier pays africain à occuper le devant de la scène. A la Fédération, on en est d’autant plus satisfait que d’autres pays africains cherchent à lui emboîter le pas … Le premier nom qui vient à l’esprit à ce niveau est le Cameroun».
Tant il est vrai qu’au niveau continental, le Maroc a été pionnier en la matière. Après le Royaume, ce sont maintenant quelque quarante pays africains qui sont en mesure d’apprécier à juste titre les bienfaits d’un sport aussi noble.
Il va sans dire qu’avec l’organisation de ce Championnat du monde, le sambo devrait gagner en popularité, non seulement au Maroc, mais dans toute l’Afrique.